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Full text of "La liberté (1924-12-03)"

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Le 


» 


vajent repréietitéen 8. 0. Man\r:2. MENALLY, 
Entre l'une lo | ancien de Calgäry, Qui vient 

ah ere ag EP Kihe_ et | d'être : intrenisé ne 2 + 

téticitait le parti: poët son süceus ‘ | 


Hamilton, Ont. . . 
dans Yélection de West Haëtiogs. . 
WA. Buchanan, de Lethbridge, a 
été élu président dé l'association 1ibé- 
rale de l'Alberta. : k 
Une nobteuse délégation du nord 
ayapt à sa tête LA. Giroux, député 
de Groûard, «à prépnt les desiderata 
de, la région. 7 ’ 
‘La carrière du nouveau chef 
* Mitchell siège À la iégisfatüre de 
_t'Atbert depuis 1910. 11 à été succes 
sivement procüreur général, trésorier 
provibclal, mintstre.dés travâux. pu 
tiies_Hiinistre des affaires muvicipales 
etde ‘la santé. Venu dans l'Ouest en 
2898, il ouvrit un'bufeñn d'avocat à 
Medicine Hat, ‘où 11 demetra ras 


Nouvelles brèves 


BRANDON, Mau. 
icole catholique paroissiale du coût de 
510,000 vient d'être ouverte à Bran- 
don. - 


— Une nouvelle 


LETHBRIDGE, Alta — Giles Lycns, 
19 anx,de Magrath, Alta, qui tua l'été 


sa nôminatiôn aû poste de juge du À pernétuils \ 


tniét"fuditiäife” dé Calgary en” 
2er sen) amenée 
- l'ad ;et où 


» is - | 
SASKATOON --. Le maire W.Har. 
vey Clare a'été réélu par Geo, 
L 'akist, que, je maire J.-A. Gregory, 
SNA HE A North. Batésord. ’ 
rmgui a ne. dans le, cabinet Sir ti +9 
Je cabinet Stewart, | .. RIVIERE DU -LOUF -- À l'é'eetion 
Ra ‘des progresslates, pettielle rehdue nécéssaire paf la Mort 
en 4921, fl l'un des rares Ubéraux | de Chaïlés Gauvreau, Jean François 


tek 


à ôtre réélus 11 représente la‘ cr Pouliot, libéral, a été élu par une ima- 
conéctiption de Bow Valley depuis<jorité de 3,000 environ. Son adver- 
saire, le Dr E.-A. Parrot, était le can- 


1917: ° | 

Le parti libéral ajbertain compte 
acthellement quatorze membres aur | 
uné > chambré de soixante- … 


LE MARIAGE N’EST 
PAS UNE DANSE 


didat officiel du parti 1béral. 


MONTREAL -- RL Calder, CR. 
avocat de la couronne, a démissionné 
| grd se livrer à la pratique du droit. 

LT 


OTTAWA — Le premier ministre 
Greénfield revient à Ottawa le 3. 1] 
va y avoir des conférences nouvelles 


À —+— et finales espère t-on — sur le re: 
Une jeune fille de quinze tour à l’Albertu ‘de ses ressources nà- 
À ans Fr! était marêée pour turelles. 


potvoir danser à sa guise 


MONTREAL — Mgr Louis-Joseph 
Grivetti, secrétaire de la délégation 
apostolique du Canada et de Terre- 


— “Je me suis 
Telle 


Motos Jaw. Sask. 
mariée pour bavote 4 dauser”. 
fut l'extraordinaire explication donnée 


neuve, ext décédé à l'Ilôtel Dieu de 
‘au juge: MacDonald, à la cour du Banc |, 
du Roi, Cécilla-Isabella MecGinn. es 
Agéo 46” s, dé Tugaske, qui pour- , 
suit so fiari. Leomafd-William . Eller OTTAWA Le sinateur Belcourt, 


ton, dâns lé but d'obtenir l'annulation dans un disours au “Canadian Club”, 
de sof"thariagr. Le juge MacDonald | * estimé que le Canada devrait rece- 
a réservé sa décision. Aucune défense] voir environ $294,000,000 en répara- 
n’a été présentée par le mari qui n'altions, pendant les trente uns requis 
pas assisté à l'enquête. pour l'exécution du plan Dawes. 

La jéune fémme a dit que son père | 
était mort. Elle vivait avec £a mère, | 


OTTAWA - 


dernier William Curry à Great Falls, 
Montana, à ét5'condamné à là: prison 


- {van, chancelfer du diocèse. * 
” TGrandéur à l'entrée de l'évêché, où # 


Un récenf décret au | devinèttes, 


Rputé tonservatéur fut Elu par 1.179 
voix de majorité, bn doit £dmettre que 
la victoire 1béralé est très importante. | à 
Député du depuis 23 ans 
ME Guss Porter était dépats .con- 
rervateür dé l'enfrôtt “dépuls 23 ans. 
a âvait : 


3 eut présentations. 4 

La étrémonie de l'intronisat‘on, À 
la cathédrale, fui présidée par Soë Ex 
cellence Mer pic di Marin, délègué 
tot 
arrheséque “ds “Age 
chevéque de Tofünto, ‘et fes per A 
de Hañeybury. Pembrooke, London-et 
Saut Sainte-Marie. Mgr MeNaïty 
était accompagné de Mgr Herrington. 
viéaire général Au diovèse de Calgërt. 

‘ Après la cérémonie de lintroniss 
tion, les réprésentants des laïques dé 
digcèse entrèrent au -choeur_où . une 
adresse de bienyenue fut lue à 8: 


andeur par. l'how, sénateur George 
Nr CR. a — 4 


taire qui avait 
‘ravaïl, M. Murdoëk, d'avoir, ee 
Hépot. de la “Hole Bank” 

ar lle la faillite de fette ne 
>pnservâteurs avéient secusé M. 
tock d'avoir-ptofé de sa situation de | 
ministre pour obtenir des renselgne- 
vents sur la situation de Îa banque 
1 d'avoir employé ses renseignements 
lans son propre Î t. 

Au cours de la lôite électorale, M' 
Murdock" a répondu luimême.à ces 
iccusationgr J à aürnis franchément 
ivoir retiré son dépôt afin de protéger 
A famille contre-toute perte; mais ji 
1 ateuré avoir obtenu ses dE AT 
ments de source ‘privée. 

Les prineïpaux chefs des -pértis ont 


Des bandits volent $80,900 
au bureau de poste de 


:: sd per .+ fOnest et MM! King ét:Meïgben te- 
RE + | aient châcut: use réunion 14 veille 


— Trois. bandits ma:- sers üe/ l'élection. 
3 dans le burean, æ|,:°-:7 Victoire: importante | 
: M : King # déctaré -que c'est ” use 


leur rbmettre 
éonténant #30,000, Ils se sont entuis 
en. äätomoblle arant que la police, hâ- 
tivetient prévenue. ait rien pu faité, 

La police fouille la ville et la des- 
cription Gù trio de voleurs a été félé- 


opt paquets d'argént Me un châtest-fort “énservateur. Les 
deux sièges sont devenus vacants à 
la suite de la démission de leur dé 
puté. Les deux voulaient éprouver Île 
sentiment populaire à l'égard du gou- 
vernement. » « 
graphiée partout dans {a p A là suite de cette élection, les par- 
7 es - | tis aux cominunes se répartissent 
| comme suit:-libéraux, 116; progressis- 
Barnard est trouvé coupable tes, 62; conservateur$. 61; travailis- 
tes, 2; indépendant:, 2: siège vacant. 
ÎL Le siège qui reste vacaht est Té- 


vince. 


Toronto — C.-A. Parnard, C.R., de | 
Montréal, l'un des dire:teurs de la 
“Home Bank”, a été trouvé coupable 
de trois chefs d'accusation ayant tr4il | 
à la faillite de cette institation. Ces 
accusations sont celles d'aroir fait au 


libérale depuis 1896. 
TL -D——— 


Les exportations de grain 


gouvernement de fausses déclarations —_—— 
touchant l'état fiñancier de la Banque: Montréal — Avpartir de l'oùvertiie 
d'avoir fait un usage illégal de ces] du fleuve à la navigation, le printemps 


déclarations et d'avoir participé par | dernier, jusqu'à date, les exportations 


négligence à de faux rapports. Ila étéide grains du port de Montréal sont 
condamné à 18 mois de prison. -|de. 160,413,908 Voisseaux. L'année 
Un autre directeur, le colonel Cla- dernière, 1 u novembre, les expor- 


rence Smith a cé condamné 
mois. 


à :<ix/|tations de grain de la saison formaient 
[le toial de 116,564,:69 boisseaux. 


Les Jeux de la a “Liberté ga 


: Voici quelque chose de neuf L'rrtté me l"Almanach de la 
pour nos lecteurs. ngur française. 
s PRIX TRIMESTRIELS 

La mode est aux charades, De plus, en bouf de frois 

mols carrés, elc.! mois, nous ‘publierons un nou- 


Asniè-Jénnie MëGino. Elle aimait pas | Frésor améri-ain autorise l'entrée en! Vous allons én proposer — el} ueau classémént que nous dé- 


sionnément is danse, mais à cause de franchise aux Etats-Unis des’ arbres | deijolis — à la sagacité de nôs 


sa jeunéssé et des réstrictions impo-| de Noël canadiens. 
sées par sa mère, elle dansait trop 
rarement. Ellérton était bon idéal] MONTREAL — Soeur Marie-Léo- 
comme dansèur et l'enfaht s'ftait for-| pold, de la maison-mèro-d'Hoc! helaga, 
mé cette idée: “Si Ellerton devient |a eu les deux yicds coupés par les 
mob mari, la vie ne sera plus qu'une 
longue succession de “fox trats . Donc 
le mariage çut lieu. 

La lune de miel fut marquée par 
une multiplication de fêtes et de bals. 
C'était apparemment la réalisation du 


roues du train dont elic venait de des- 
cendre, à Strathmore, 
Montréal. 
grave accident. 


| 


| MONTREAL Le sénateur Boyer, | 


rêve. Mais la vie me se compose pes | frappé récemmen: de paralysie, devra | | Semaine prochaine. Voici coni- 
La jeune | prendre un long repos avant de se ré | nou nous procéderons: 


seulement de “fox trots”. 
femme eut bientôt à faire face à ses | mettre à ses occupations. 
devoirs, au foyer de son mari. Les! 
illusions. tombèrent et Cecilia fut mal | 


ee 


heureuse. -Elle petourns chez sa mère.| MONTREAL — Jean Carpentier, àn-| 
‘ |cien garde de la prison de Bordeaux, 
———*tim—— |a ét condamné à deux ans de péni-| 

Le gouvernement Bracken teneier pour avoir aidé Gulseppe Sera- 
8 ‘oppose à l’ arran- fini dans une tentative d'évasion, avant 


| son exécution pour le meurtre d'Henri 
|Cléroux, le chauffeur de la Banque 
d'Hochelaza 


gement 


M. Bracken s'est élevi contre l'ac 
ceptation dé l'accord survenu récem- | È 
ment entre les parties intéressées au | BELLEVILLE, Ont. — 
vujét de la disposition du bois de pulpe | d'un pari perdu dans 
du Mauitobs. I! y voit certains abèta- 


A la suite: 
l'élection de 
| West ‘Hastinge, un citoyep en vue du 
clés au libre dévelppement des res | village he Frankidrt, revêtu de ses 
sources du nord. Voilà une cause de ! habits ordinaires, a sauté d'une dis- 
nouveaux rétards dans l'établissemeni tance de dix-huit pieds-dans l'eau g'a- 
de la grande maaufaciure projetée à !céé de la rivière Trent, en présence | 
Saint- pattern | d'une fouia de curieux . » 


5 4 P 


ER 2 


à l'ouest de | suggérer à nos lecteurs une sé- 
Elle ne mourra pas de ce|/Ÿe de bons amusements intel- 


1: 


demprerer en appréciant tou- 
tes lés réponses fournies depuis 
lle commenegment du concours. 
INous décergprons alors les prix 
suivants: 


1er prix: Un bon de 550: 

2me prix: Un bon de $3.50: 

3me prix: Un bon de 5200. 

Ces bons seront 'valables à la 
Librairie Kéroack pour l'achat 
de livres français au choix du 
gagnant. 

Tous nos lecteurs sont cor-| 


chercheurs. . Nous aurons aussi 
dès mots en losange; des méta- | 
grammes, des mots carrés syl- 


labiiques; nous aurons des cha- 
rades. Nous allons, én un mot, 


lectuels. 
çais. 
Nous cammencerons dès la 


El tout cela en fran- 


Chaque semaine nous propo- 
serons. à-nos lecteurs quelques 
|nroblèmes à résoudre, les invi- 
tant à nous communiquer leurs; 
solutions. 

PRIX MENSUELS 

À la fin de chaque mois, nous | 
publierons la lisle de ceux qui 
auront fourni les meilleures so- 
lutions durant le mois, par or- 
dre de mérite. Done, pour faire 
ce classement, nous prendrons 
en considération chacune des 
réponses. soumises à chacun 
des problèmes. Nous su que 


re; il n'y a que fc personnel de 
lu Liberté qui en est exclu. 


{les voici: 

10. Les solutions devront être 
mises à la poste jou déposées 
aux buregux de la Liberté au! 
plus tard-dans lu journée du | 
lundi suivant la publication 
dans le journal des problèmes 
résolus: ceci est {très important. 


rons les prix suivants aux qua- 
tre plus heureux concurrents: 
ler prix: Un bon de $100: 
2me prix: Un bon de 75 sous; 
1 3me et me prix: Un exem\ 
i 


Liberté et sur le 
écrire, bien li 
nom él son 


emeñt, 
adresse, _: 


pris pait à la lütfe dans Hustings- 


miscouata, ure circonscription qui" 


. 


+ Hfigslens De 


" è + 
pures seen 5e ve 


| 


bé 


Végreviile, Alta 
À Winnipeg, en roùte pour pen ‘ 


Æauché à -droite. À nur war Watson tnostélont à 
CN Winnipeg. et É:-A: Field, ps qd du D6 
ét! de la côlonisatiôn. Deuxième 

KHanñgeée de ‘dévant: 
Grandview, Man: E Lanan ét KR. Neefs, Saint-Louis, Sask. photographiés 


et N. Shoemaker, 


POUR COMBATTRE GRAVE CONFLIT 
LE COMMUNISME, ANGLO-EGYPTIEN 


— liques de parer au 
qui menace le pays 


S.: E. lé cardinal Dubois publite dans 
la; “Semaine Religieuse”, de Paris, 1a 
France est menacée d'une révolution 
communiste. 


Demandant à tous les Français <a- 


tholiques de combattre le danger qui 
ménace la France, le cardinal écrit: 


| dialement invilés à. prendre | lLe premier ministre Akel n'a échappé 
part à ce tournoi nouveau gen- la l'assassinat que par pure chance; Lu 


| 
| 


Deux conditions seulement son}, l'entrée. 
imposées aux concurrents, el é6 tuées. 


20. L'envoi des solutions de-\vlusieurs prix pour le bé Durun 
vra être accompagné d'un-cou-!lexposition du tétail de Chicago. S. 
pon que l'on trouvera dans la | Lacombe, de Dirtiey, Man. à remporté 
uel on devra !'e 5me prix: W--J. Broatth, dé Moose 
son!Jaw, Sask. 


1 


réagir aujourd'hui; 
être trop.tard Que Diçu protège ia 
Frantcé.” 


transmis cn Fra 
vas, parlé de la man 
IR RE ER 


la güerfe?” ajoute le prélat. = peat 
le craindre si tous les, 
ne résistent pas ponr. 
neur et la sécurité du, pay 


che dernier, 


qu'un grand nombre de francs maçon, 
décorés de, 


paient à cette parade, tandis qu'il n'y |tionnaires civils devront on tenir nn 
avait que quelques drapeaux français. 


quel Îs communistes triomphaient, ce 
qui à jeté une lueur sur les copséquen 


| proclamée et les troupes occupent les 


“L'heure ,est grave. Nous. devons 
demain sera peut- 


Le maMfeste 


ens 
lhon- 


Parlant de la procession diman- 
Son Eminencé ajoute 


leurs__ insignes, -partici- 


“IL y ‘avait aussi, dit-il, une armée 
sommuniste compacte et. disciplinée. 


Elle était composée de 20,000 hommes, 


: | 
Paris — D'après une déclaration : 


britanniques ont fait arrêter, jeudi ma- 
tin, Nekrashy Bey, 
ministère de l'intérieur, et Abdul Rab- 


et l'un des membres les plus éminents 


de la délégation naticnalisté qui a vi- 
sité Loñdres en compagnie de l’ancien 


-qu'on les a arrêtés. 


cardin Mi est 
pl qu re Ha-| 
a ie 


leurs: coups < 


# 


Le Caire —"Les autorités militaires 
fe. secrétaire du 


man Fahny, un ami intime de Zagloul 


premier ministre. Les deux hommes 
politiques <taient encore au lit lors- 


où ils ont été transportés. : 


prêies efforts pour 


commissaire anélâis en Egypie. 
Lä garde. à la résidence. a été dou 
blée et des mesurés extraordinaires 


: Dorénavant, tout laut forictionnaire 
civil ou militaire anglais sera Accom- 
pagné d'une escorté. Les officiers de- 
vront-porter un revolver. et les fonc 


sur leur pupitre. 
Trois médecins tués 
Le Caire — Deux pelotons du onziè- 
me régiment soudanais, à Khartoum, 


mobilisés à l'ombre du drapeau rouge | se sont révoltés vendredi et ont atta- 


F Jeqüel éfaient le maÿteau et la 
lle des soviets. Ils mârchaient 


aux ÿons ‘de l'“Internationäle” et lan- 


gaient des appels à la violence. 

“Ce fut uné révélation. Le danger, 
que plusieurs croyaient inexistant, est 
äpparu subiténient et le spectre du so- 


viétisme ‘s'est “montré à l'horizon 
Combien dé nous ofit alors ouvert 1 


yeux au pasge de ce cortège dans le- 


ces d'une politique qui peut conduire 
la France à ta pire dés cätastfèphes 
Le communisme serait là ruine de ce 
qui nous est@ plus cher: notre reli 
Sion et notre pays. ‘ll serait pour nous 
la plus grande dey tyrannies. * Le lais- 
serons-nous pénétrer en France et re 
ommencer les horreurs qui-se son: 
déroulées en Russie? 
: “Pour soulager notre conscience d'é- 
vêque et de Français, nous avons vou- 
lu sonner l'alarme sans retard. Qu: 
Dieu veuille qué notre appel soit en 
tendu ‘de tous ceux qui out à coeur 
la sécurité de la France.” 
—..mre —Î# 
Troubles communistes en 
Esthonie 


Washington 


‘ 


Un soulèvement com: 


muniste à Reval a eu pour résultats | 


{la mort du ministre des communica- 
| tions, la saisie du bureau de poste et 
de la gare et des combats dans la rue. 


venah de quitter sa ‘maison quand ! 

révolutionnaires l'ont cernée et en 
Plusieurs personnes 

La loi martialé a été 


édifices pubiies. 


Des fermiers manitobains 
sont lauréats à Çhicago 


Chicago — Le Canada remport é 
à 


le. $mé; H Tucker, de 
Manitou, Man, le 10me, et R.-D. Moose, 


Donc, à la semaine prochaine dc Lauder, Man.; le t4me.- 


qué l'hôpital militaire. 1is out tué un 
médecin britannique et deux médecins 
syriens. Les troupes britanniques ont 
tiré sur les Soudanais, leur causant 
de nombreuses pertes. 


Genève — La Soclété des Nations a 


| A la Société dés Nations 


Ifecu ‘les protestations du gouverne 


ti mt tt 


a ————— ce mt 


ment égyptien contré l'attitude de la 


Grande-Bretagne en Egypte. 
testatiôn signale en termek polis, éner- 
ziques et clairs, l'iniquité et l'extrême 


suite de l'assassinat du sirdar Stack. 

Le président de ‘la Ligue, H. Hy- 
mans, laissait aussi savoir au sccré- 
taire gCnéral, Sir Erf Drummond, 
qu'il avait reçu une copie des protes- 
tatious égyptiennes. Le document de- 
mande l'intervention de la Ligue dans 
cette affaire. internationale. 

H. Hymans, président du conseil de 
là Ligue, ne dit pas dans sa lettre ce 
qu'il projette de faire en marge des 
protestations égyptiennes, lors de la 
prochaine assemblée du conseil, qui se 
tient le”S décembre prochain, à Rome, 

2m  — 
| Le gouvernement s'occupe 
de la révision de la 


-. loi du grain 


Ottawa — Le goivepement s'occu 
pe. de la révision de la loi du grain. 
| Le rapport de la Commission royale, 
présidée par le juge Turgeon, sera 
rendu, public dans le courant du mois; 


déjà connues. Toute la question a été 
soumise au eabinet veridredi et. les 


pour le remaniement de la loi. 
22202 — 


Le gouvernement fédéral | 
- désire imposer le vote 
alternatif 


tisfre de la Justice a présenté une | 
loi semblable à la 


On ne-sait pas 


gène Lafour, CR. et: 4 iial 
CR, seit Mn: erec OUR IN 
missaire Boyce. 


Appel sous 


ont été RMS er lord Ak iéé 
Alepby. :2. 


\II faut dire que l'anpel-de. 
décision de ‘la comm 


ile de Brâatt 
fa jm rss éprès voir 4 


de- la "question prinfipale du 


différence des taux, 

La formule suggérée [ 
est comme suit: “La « 
éhemins de’ fer. peut-e 
fixer” des taux à étre ai 
chemin de fer | 


dessus de © 
dont parle 


patut: MM: Qecrges 
La Pro | gmfle” Picard et sant 
été élus membres de 
Il ccédent 
sévérité des demandes anglaises, à la so mr Pierfé 


caisse. 


champion lutteur euroÿéeh de: 11 
1913-et ‘uspirant av titré We 
du monde, vient de mourir. 


MOSCQOU — 0:M 
gué à la conférence de’: 


viétaire en 


mat à pris le 
mée française du “Hhin, en. 
| ment du ‘général Degoutto. 


| BELFAST 
| été condamné à un mois de prisan | 


LT dd 


‘und 


a 


PAR 1 Los 


— ‘De Valers, qui svsu 


ler novembre Dour être entré 


| territoire de l'Ulster contre 14 
| se des autorités, a été relâché 
di matin et escorté jusqu'à la 


| “FAms — L'Atidéaile des 
on croit que les grandes ligtes en sont me a cd et EE 
11.500 francs, destiné à 
premières dispositions ont été prises | ‘18 personne qui; par des 
| son engelgneiïent, aura 
| bug à la propégaiion 4e 


| primaire”. 


PARIS — La Ligse.das, 
‘| élu pär acclamation Key 


—— —— 


| Milierand au poëte, de ps 


Ottawa — Le gouvernement fédéral | raîre et le général 
introduire une seconde fois, à la pro-|élu présidènt ‘en. 
chaine session, ‘une loi imposant le | Maurice PAP Et 
vote , alternatif” On sait que le mi-| 


“. 


bn 444 


MAKION — Florence Ktag 

dernière session, | a ‘été iuhuiée. à fé de 08 

| weis Fa shanéquaée après la promise feu le président ca 
metière de Marion, —-—- 48 


a “' 
“ Co Métis: AT, 


i | 6ÿ 
, Aééhé cé «ed 


2 
is. 


» 


du, régime soviétique. Re < «or 


lan Chucase ou relégué dans un- poste 


dip! omatjque étranger, : 
1e position de coinmirsaire des aftai- 


—— es MER EE Pme 


d'exemplaires. Bi les autres 4e Tastes, conseitier 


res ifituirés, habilement remplie per | 


on |Trotsky depuis la révolution, à ét4 d4.. 


1 |clärée vacaifte et les. hantes.<harg 
lé Füñdien chef lui ont ét4 ténemat 
enlerées. É 
k À L su É Froutky s 444 condatnbé pour dei 
. : Le Rte, : |écrits et des discours récents dans les 
Ho - | auéts 11 glisse de la puré foi. boïche- 
Viste de 1917 aux idées plus modérées 
du mesh : 
Un 


contre Alphon- 
se tiré à deux mil 
Procession” me À les rues de la 
‘ de comparaître, se 
! volent condamnés 
4 de 


7° ions ‘exemplaires : 
par: défaut, pour 


respect à l'autorité et per- 
de ia paix publique”, à onze 


:: Park 1 armée de contrebai- 


diers volontaires essaie actüellemer: 


de faire franchir la frontière espagno- 
sg écrit par Vincents 


d'amende, respective- le au 


TEE ne 
du coût de la vie !n Druxelles, &.at- 


teint son plus haut point dt | 


commencement de la guerre, soit 555. 
Le chiffre indicateur pour tout le paÿs 
est de 529. La question du coût de 
ja we prévecupe actuellement le gou- 
gps à dx \+ 

RE et tv RS 


La érise dx logement à 


* faris — Tandis que des centaines 
de familles n'arrivent pas à se loger 
à Paris, cinq mille appartements va- 


ment. ‘ Ée Blasco 


pour dénoncer je roi 


Leants sont conservés par certaines 


BILLY PEACE 


nl 


LE Pour ceux qui reconnaissent . une 
D occasion quand ils en voient une 


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tient la tête. k 


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ci, fondée en 1048, avait été incendiée, 


rès de Paris et qui eu est pour ainsi 

IV. rebâtit sa capitale, à laquelle fl 4 le S ren Panel nr . 
jéonns son,nom. PARIS 10 déc., 7 janv., 28 janv. 
FRANCE 16 déc., 14-janv., 4 fév. 


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ua-vete- | 
ar : 418 à 196, sur jme. fntes- | 


pellation du député Pierre ,Täittinget, 
concernant les incidents qui se sont 
produits äurant le défilé des commu- 

: nistes, Jers dela translation des res 
Paris. — Ajamirai gbésai : com. |tes de Jaurès au*Panthéon, dimanche 

mandant dy de Biserte êt des for: L'interpellation donna lieu À une 
ces navajes fiançaises dans lex éaux scéle violente sur le parquet de la 
de l'Afrique da Nord, a été rappelé Chambre; Après un long débat; fe}, 
pour avoir retübe de-récevoir les dé- | président da conseil, M.. Hérriot, dé | 


lègnés du-gouvernement des Soviets | clara qu'un vote opposé seraii cons |: 


venus à Bizerte prendre possession des | déré comme, un. Vote de non-confiance. 
débris de la flotte du baron” Wrapgel, | "M. Taittinger déclara que les net 
Rage la noùvelle que l“Echo de Pa- dents. de dimanche n'étaient 
” recoit de son correspondaüt. Ce!ni moins que des. saturnale "Févol 
ae ajonte:- | tionuaires, que le général Nollet, le; 
“Une propagande communiste parti- | ministre de la. guerre, avait été obligé 
culièrement violente, fomentée par le | de s'enfuir afin d'échapper à la ma- 
vernément de Moscou,:se poursuit uifestation révolutionnaire. ct que 
en Tunisia Elle a pour objet de pro-|Passants furent forcés de saluer le | 
voquer une insurrection des indigènes | drapeau rouge. x | 


les | 


. Fa lé Protectorat, et l'arrivée de laj 12 tumulte êtait tel, À certain mo: | 


commission soviétique ne pouvait que | ment, que le vice-président, M: Buts. 
{lui - donner une : noûvelie impulsion. | SON, allait prendre son chapeau pour 


posa l'opinion de l'amiral, qui d'a | | suspendre la séance, lorsque M: Her- 


pas-voulu recevoir sur le territoire où | riot.se leva pouf faire quelques ob- 


“]is'eserce son commandement des per-|rvations sur la manifestation. A 


sbr avis,-on a beaucoup exagéré les 
désordrès commis. Le général Noliet 
n'a pas pris la fuite. Il est incapable 
de fuir, dit-il. 

Le gouvernement a “rospoëté la loi 
républicaine qui tolère le drapeau rou- 
ge s'il porte des inscriptions. 

“Le gouvernement, ajouta lé premier 
ministre, combattra le communisme 
Nous sommes pour la république avec 


sonnages dont la présence encourage- 
rait cette propagande, fussent-ils inves- 
tis officiellement par le ministre de la 
marine lui-même, C'est alors qu'il a 
été “rappelé.” ‘ 


—— 2 — 


On ne veut plus de la re- 
présentation proportion- 
nelle en France 


s avons confiance dans la vertu du peu- 


ple.” | 
— 22 0 — 
Le beau travail des 
rançaises 
“Pañis = — De 1903 à 1923, fa Chine a 
passé de 783,000 chrétiens à 2,208,000, 
2,600,000 peut-être si l'on tenait comp- 
te des catéchumènes. 
11 serait intéressant de faire la part 
de chaque congrégation ét de chaque 
-| nationalité. , Observons seulement que 
sur ce. dernier point, gvec les Mis. 
sions Etrangères, les Lazdtistes, 1cs 
Jésuites, les Franciscains du C'häan 
|tong, c'est encore la France qui tient 


Paris — La commission de la cham- 
bre des députés qui s'occupe de réfor- 
me électorale a rejeté le principe de 
la représentation proportionnelle _z2t 
adopté e Ja majorité, qui 
consiste à élire un seul. député dans 
chaque circonscription. 


ions | 


= —— mr 


Le prince ira en Afrique-Sud 


Londres — On annonce officielle- 
ment que le Prince de Galles partira 
de l'Angleterre vers lé 25 mars pour 
un voyage en Afrique-Sud., En route, | 
le prince visitera ia Gambie, Sierra 
Leone, la Côte d'Or, 1e Niger et l'île 
Sainte-Hélène. 

A — 


Huitième centénaire d’un 


Pape français DODDS 


KIDNEY 


Paris.— Ce Moisti-on célébrera s0- 
lennellement, à Vienne, en Dauphiné, 
le huitième centenaire du Pape fran- 
çais Calixt& II, qui fut archevêque Jde 
cette ville. 

Ce Pape, qui s'était appelé dans :'e 
monde le comte Guy, était l’un des fils 
de Guillaume-Tête-Hardie, comte de 
Howrgogne, qui fut l'un des plus fidè 
les’ défenseurs de Grégoire VII contre 
l'empereur germanique. J1 vit le jour 
dans'le Doubs, au château de Quia- 
geyr. 

Le nom de Calixte :I est bien conuu, 
car c'est oe Pontife qui réussit à tér- 
minér la redoutable quérelle-des inves- 
titures, entre la Papauté et J'Allema- 
gne d'alors. : 

24 2— —— , 
Christiania va changer 
de nom 


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peur invalhidés. M, J.-M, 
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s 


Christiania, — Conformément à la 
loi votée par le Storthing le 11,juillet 
1924, Christiania, capitale de la Nor- 
vège, portera, comme nous l'avons dit 
alors, le nom d’Oslo à date.du ler jan 
vier 1925. “ÿ 

En réalité, ce n'est pas d'un chan. 
gement de nom qu'il s'agit vraiment. 
Christiania, dont on a fêté le tricen 
‘fenaire cet automne, avait remplacé, 
en 1624, l'ancienne capitale danoise. 
jui s'appelait précisément Oslo. Celle- 


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-‘Aaires. 


= Le But poursuivi ici est de donner à nos écoles, publiques cet}jEt c'est daus l'une de nos ‘pfincipales 


quisen sont encore dépourvus. 


‘raux ungluis. res droits sont ac-. Une 


cohtre l'atsrut du tant fiéais qui v 
téer. l'école” nentre, Voici .uñ résumé. des: délibérations. ‘di 


au? ‘nañtimiément, disent ii ape ddtsembtéé a adopté des 12. tendre - 54% Canaod 
vôéuxr relatifs à | la: conettittion: dans chaque localité où il n'en{tut l'abbé in Morin, fils de Noëi 


ne des til sl 
‘ques . se “héjoute. .vous 
LaVoir chôtéle pour pars: * ri . En 


effet vos bonnes 


fr pr tes, derniers v3 
la saison. Ils s'en sep nf 


l'amour « et le dévouement que vous 
portez à l'enfance. Aussi il’ ù'y a pas 
de doute que vos paroles n'aient reten-, 
ti, selon votre désir, dans le coeur de 
toutes les institutrices désireuses dej’ 
‘remplir plus dignement leurs devoirs 
d'éducatrices k F: 

Avec “vo, Madame la. Présidente, 
nous prierons pour avüir-ln lumière, 
la force. le gpurige. Avec vûus nous | 
aimerons notre “Bulletin”, nous tra: 
vaillerons à le rendre de plus en plus 
dôtre ‘par ne coopération active et 
dévouée: nous en serons les zélatri- 
ces et par là nous aiderons' grande- 
ment à lFoeuvre de l'éducation dans 
notre chère province. S 

Avec vous, nous serons pour Nos- 
seigneurs“ les Evêques, pour Iles pas- 
teurs de nos paroisses ce que nous 
devons être: des auxiliaires modestes 
toujours s au traydil et à ia |, 
pétiie. : Avec #ous/ naûs vivrons pour 
les enfants qui noys sont confiés, leur 
donnant l'exemple: d'une vie vraiment 
chrétienne... 


trüile. avec méthode des devoirs, de ses mm es. contréléra 
étroitement l'école, ne laissera pas passer sans protester le 
moindre manquement aux lois, usages el traditions qui guran- 
lifônt la liberté des catholiques alsaciens, el signalera les man- 
qüements qui viendruient à se. produire. au € ‘omilé dir: ctéur 
de la Ligue des C ‘atholiques.” “ : 

Comme oh peut le voir, le rouage ‘dé défense est composé 


l'ohictiôn saéerdüïale dés Mahis de 
Mer de Laval, le 29 septenibre’ 1663. 
Aprés avoir 616 décrélaire de l'évoche, 
cüfé de Sore}, de la Pointe äux-Trén- 
bles de Québec, de Repentigny, de 
Sainte-Anne-dé-Beaupré et, .enfin, 4 
Saint-Michel-de-Bellechasse, il fut npwm- 
mé chanaîne de la cathédrale da Qué- 
bec, où il est décédé, en 1702, à Fâga 
dé-soixante ans. Il était Je frère de 
Soeur Morin, la première Canaüienne 
reçue à l'Hôtel Dieu de Montréal, et 
dont elle a‘écrit lès “Anhäles”, si in 
téressantés et. si précieuses pour 11 
primitive histoire de Ville-Marie. 
Bulletin Eucharistique. 

’ 2-4 
La Semaine sociale de 1925 
aura lieu aux Trois- 

Rivières 


Montréal C'est chaque, année, 
comme on le sait, durant l'ôté que les 
Semaines sociales du Canada tiennent 
leurs assises. Elles vont ainsi de ville 


léur visife? Plus ou mofÿh,. ou plus 
que moins d'entre eux, d'äprès les rap- 
ports des officiers des bureaux, des 
Ygents de gates et. d' après LU “enqué- 
tes personnelles sur place 
. Les raisons ou prétextes, en plus d'un 
, sont: lo. Température, la piuie 
occasiondant dés retards en soût et 
septembre, par conséquent pérte de | 
temps, d'argent, ete. 20. Salaires 
payés qui ne Ccorrespondaient pas à 
l'annonce faité de $4.00 par jout pen- 
dant 90 jours comme moyÿenhe. etc.; 
30. Où est venu trop tôt. la récolte 
n'était pas prête;..on ne voufait pas 
nous engager, reténir nos places: ous 
avons €té mal traités, mal nourris, 
ets.: on a dû coucher aux meulons de 
paille ou dans Jes étables, ec. 
Le plus étonnant .là-deduns, c'est 
qui y a ‘du vrai, mais très pc, une 
pincée... Ce qu'il y à de plus éton: 
nant encôre, mais Qui n'étonne ‘pas 
ceux qui sont au courant, c'ést qu'un 
trop grand _ nombre de-ce+ -moi#sou- 
neurs, de retour chez eux, vont publier 


ef des Comités paroissiaux. Le Congrès dés Alsaciens veut 
que-ces Comités existent dans chacune des localités de l'Alsace. 
I lés veut bien vivants, et, pour cela, leur nil objec- 
tifs: l'étude et action. | 
L'étude fe ‘ra Ja lumière dure les futciligenoès, elle s'rvira 
à faire claire ment connaître les droits des parents en matière 
scolaire. € "és sage; avant de pouvoir poursuivre un objectif 
avec ardeur et esprit de suite, il faut lavoir aperçu claireme “nt 
et en comprendre l'importance. 
= De plus, le Comité local devra surveillér de très près ce 
qui se passe à Pécole. Y découvre-t-on dù nouveau, le Comité 
local doit immédiatement en informer le € Comité central afin 
d'aviser en commun aux remédes à appliquer à cette. situation 
locale. memes | 


EN oo gum me 


. ; ; : . Oui, “Bursuni corda!” Nous somi- 
On dit ailleurs qu'en Alsace, à propos d er dtüttion hlen ville éclairer les intelligences et à tous jes vènts leurs griefs contré es ‘avec + Celles qui oft pasié | * 
. nt ant { ‘: à $ ne 
peu, près idénlique: “Restohs siür-nos positions”. Pour .cela; [orienter les Folontés vers El later nd ne haDilaats. contre le | onrte dahs. l'enseignemenit 


Ga" catholique. 

‘été ‘dernier, à. Sherbrooke, at 
on! pe ‘de la “Propriété” dévant de 
mäguifiques auditoires composés de 
l'élite des prêtres et dés laïques du 
diocèse, sous la présidence du Délégué 
apostolique et de plusieurs évêques. 

: " ‘ L'an prothain au mols d'août les Se 
Le but ponts par les Alsaciéns est d'empécher le SOU-; maines sociales ‘s'océtpéront d'unsu: 


vérneiment de remplacer Fécole € catholique var l'école neutre. {jet non moins important: la “Justice"/ 


climät, contre la boïsson qu'ils ‘auront 
trouvée frélatée. contre l'eai qu'ils 
n'auront pas buë, contre les Zag?s 
qu'ils n'adront pas pu imposer cette 
année,//comme d'habitude. FE 

Jusque "là, ce n'est pas - extraordi- 
näire;.mais le pire de tout, c'est que 
ces misérables seront crus sur parole 
et leur “propagande néfaste, fauss:, 
injuste, ira son chemin et fera boule 
de neige avant d'être rendue chez le 
quatrième voisin. Cépenñdant que ce 4 
malheureux trompés n'auront eu qu'u- 
ne pincée de vérité pour uue poignée 
de mensonges. et des mieux condi- 
tionnés… F 

Trop heureux FE OS grands quoti- 


diens des pro eVEst ne sé font} 
ns t 4 
pas, l'écho des: ‘Jérémiades. lamenta PARIS ÉENRRRNUES. PAR EUR qué 


leur porte devant Dieu yné amfé sin- 
Uons, objurgation même de certains | rl 
CETIITS e "e F e-} VO : 
pos urs ou critiqueux” en mal de r ! Et moi ‘je crois pou votr 
uommée à leur manière — chose que 
RARE : |me tromper: ‘Partez; gutreg” 
d'os jà vue. que nous avons | dictée par mon coéur. Cuak 


es 1 point D et mais | | bonne présidente et dites-lui l'affeÂtion 
1 rst impossible de contrôler par profonde et sincère que lui porîent 


| 
tout et pa » « 
out et de détruire par une simple rec- ‘avec bonheur et fierté les institatrids 


créons. des + Comités paroissiaux. qui s'occupent activement des 
affaires sénlaires dans tous les NN Si. manitobains. On à 
ajouté: Avant, de faire un pas en darrière, consultons l'Exécutif | 
du Comité général qui s'appelle’ ici l'Association d'Education. 

“Lc rapprochemies nl nous parait suggérer des réflexions salu- 


et qui vous ont vue fle plus près sa- 
vent combien vous devez parler 
vous qui donnez ‘si bien l'exemple 
d'une vie si dévouée à l'enfance. ; 
Bes-pius jeunes e1 Teles qui "Ton 
pas eu occasion de vous connaître ne 
tarderont pas à apprècier votre zèle 
et votre dévouement. Et ainsi, toutes 
groupées. autour de vous, plus unies, 
dirigées ‘par les conseils du R. P. Di- 
recteur de: notre Ligue, nous ferons 
oeuvre plus durable pour.la g + Au 
bou Dieu et pour le bien le mob “fers 
enfants du Manitoba. 

Vous disiez dans. votre bonne jet 
tre: ‘Partez, chères lignes dictées 


neutres de par la loi. une utiosphère que puissent respirer Tès Mr ue Ke re ss le Les 
atronage de_S 2 er. ou- 
à Fr pour EUX. 
enfants catholiques et français sans {rop de danger pou UX: lier, qu'apront lleyAes réunicus. On 
Pour cela il faut faire comme en Alsace: 10, étudier:  20.| peut s'attendre ÿ/ce que la Semaine 
surveiller: fo, se tenir en contact constant avéc l ‘eOCIAHON sociale soit digne de ses aînées. 
centrale. , 

Ce qui Uxiae ici procède d'un esprit d'organisation pra-, L’ endroit le plis ‘chaud de 

lique ct'avisé, Infuser plus de vice aux Comilés paroissiaux- re l'univers 
marche, el conme 


en fonder dans tous les cendres!” 
Voilà l'objectif à atteindre. cet 
Personne n'a ie droit de se récuser: la cause catholique ctf 
francaise exige le concours de 
jusqu'ici et l'effort persévérant de ceux qui sont-auu | 


cn'Alsace, 


Londres - —: Jusqu'à. récemifént, la 
vallée 4 de la mort en Californie, où 
une température de 1341 degrés à 
tous. ceux qui se sont récusés | lonibre fut enregistrée le 10 juillet 
ravail}1923% à Greenland Ranch, était 
J dée. comme l'endroit le. 


regar 
plus chaud à» 


tt mere mratienentren gért-r etes pete 


s la premiere heure. LT tification des faits. . | 
ApUE rl / PERTIX AN [a lerre. Dr pour remédier, en autant que tholidhes- du Manttoba ” 
\ nl DARE s x : +1 : dier, € é & a 
‘ Î PRE ie —. de la Sociè $ pd : ne LEO A Albina BARIL. 
= faire se peut, à cette mauvaise anno-t 
_ _ } Institutric 


ce, pour en atténuer la portée 6t co 


battu À Azisia, établisss ment italien 
i 34° {| per les ailes à de trop nombreux La 
dans Ja région semi-déserte du nord de 
nards-- à ces:canards hors saison 


Lies à environ vinét-cinq millés il is dre ne “4 
e 2C e eurs 1] 
Fan sud de Tripoli, où. le mercure 4 y ë e, les ex ior 


e vers l'Est à prix réduits. Les annou- 
marqué 136.4 de ° 
pp Mr cesaffichés sont déjà fisibles. 


LE STE FN DE | Mn rame tas 


“Alber-| PE, Lessard, qui üccupe na 


Nos compatriotes de | L'‘Aimanach de là Langue f 


e OU Gas < 
attendent, axec_une_ ynkicté. guére le poste de M et $ +. voit partout -dans- les gares, trs bu le” de 1925 est paru. 11 promet V'étre 
bién®- tégitime, Hi Fes ion lprovinciül. “Le pat communiste = |reaux, sur les journaux. C'est par ces hün franc succès.” La matière e est 
d'un successeur au re grett: sé- Mais voici qu ‘une étrange ru- | : 2 ‘Canada excursions de visiteurs de l'Ouest qua , [ietie $t substantielle. . 1] ne manue 
nateur Côté. meur nous artiye d'Ottawa. On ——- nous devrons corriger la inauvaise in. |ra pas de plaire à tous + petits 

Nous avons déjà reproduit dit que le gouvernement aurait | Calgary - Le parti comuiuniste du | pression des excursions de moisson-| grands, gens de la ville et de la can 
ua article de l'Union, d'Edmon- l'intention de donner le sig !(unada, constitué sur le modèle de ce-Éneurs de T'Est. “Simiilia similibus eu. pagne, professionnels et commerçants 
ton, qui établit clairement leurs au ministre actuel de linté- lui de Russie, s'implante-sérieusement | rantur” ; e comme on peut le constater” par :à 


rieur. M Charles Stéwart.. La! 1 mouvement travallliste du C'a- 


combinaison peut pes fort | nada, et le Dominion court-un danger 
de 


droits à çe siège. Le raisonne- 
ment de pôtre confrère est d'u: 


Ce sommaire que voici: 


.. Au delà df cent photographies di- 
verses, ent 


sera le sujet de l'article suivan:. 
J.-A. NORMANDEAU, 


: . a 0] sS RE 
ne logique lumineuse ct d'une ingénieuse : certains " Nr 'annlogue à celui qui mi l'Italie, au fs, Prêtre colonisateur autres: les prih-ipäux 
solidité inattaquable. Les Ca- jongleurs po Nues . dOtaN org de la.ruine avant Ste —— 220 0 — — ljournalistes catholiques du pays: les 

adi | i ù ‘ ä onne pe- re. nesere — ! ? # 
uadiens français de l'Alberta [te personnage d'une des Fakcisres. Tel est du mois l'avis | L'émigratio : joue |enefs de roupéments nätionaux; Jes 
tite position à vie, elle Le déli- Lis sajor général Grlésbach d'Edmon migration britannique 


ont un représentant au Sénal derniers monuments inaugurés à Qué- 


depuis la eréalion de leur pro vrerait Fun grave souci . 8€ ton. qui a porté ja parole à L'Aiberl | EU Au” cours de l'année [der ete. etc. 
. pe . : K +, ñ & « QU : = à Ni : °s Ù ” ——. . : 
ALLIE lrois des leûrs ont ainsi aire € pre dans $ pure INCE- Military Institute”.  L'apathie Î | 192%. 212,904 personnes âgées: de 1} Douze esquisses du Pare Lafontaine, 


océupé tour à tonr cètte impor. [Mais il y u tout de UNC l'ynorance de l'électorat seraien: par un jeune de talent. 
limite à se payer la tété du po- 
, 
' 
| 


Re et plus ont émigré des lles Bri, 


lanmte char ge. L'année dernic- de la situation qui existe aüjou ui. ls dnniques: 120188 hommes et 52,72! De: contes délicieux par des stylis- 
re, à a mort de l'honorable M pale. : w 4 son UE SPORE Pr Me 
Forget aütuiquet devait sucec- M. Stewart est actuellemne « . | “enr Jes 120,188 hommes, 75.456 Sont Une saynette de urie Cire Dave 
der l'honorable M.. Côté | député d'Argenteuil. C'est a 3 luy. 


Un aviateur inéoue fravcus étabiit | ais dans les payk d'Embpire, 51,521 


erbialr 
ui nouveau record de |aux Etats-Unis et 2}911 dans les autres 


ssive 


ve à la générosité. proge 


avait été un moment question 
+ d'aucuns disent exces$ 


Une vingtaine ‘d'articles de fond 


"d ‘offrir le siège à M. Frank Ofi- A : sur des. questions religieuses, . natic 
ver, : Mais TS avait ce rit | des_-Canadicns français Le I a vitesse ren ne era eme | ses nales. artistiques. littéraires et 
immédiatement dans son jeur- [DU acccpler un. portefeuille à ie ; Fanny à no pe TT CT ques, étascmiqués — parles mes! 
pal: Ottawa. Mais lentrainerent! Paris  L'avigteur ‘Pons ir avec 5 R mécanique. 8.471E 


“Si les Faisons qui ont fait ieurés plunbsx du pays: l'aboé Groulx, 
élire en 1905 un Canadien frun- 


cais au Sénat etat ht bonnes et 


étäient des agriculteurs, des corner 
Gants ou des professionnels et 


aéro} plane aimpéibie 
550 chevaux, a 


qu'il subit comme représentant {un nouvel 


des électeurs : ançais du comté [d'un moteur de 


muni.! 
bris 11150 


tole Vanÿjer, A. Läureudeau, Noël Ber 


FE j ss 1e l de. talent des journaliers | 
satisfaisante S: # les = Le SOI C1i- d Arge ute uil 1 [x u pas el Porc 1" re ord de ?a vite ve pour > | Fur Sür les 82,721 fe: ! nier. l'aÿbc [e) Mauirault, J-B Lagac: 
core aujourd hui. VIA Hu © pu qualifié que nous ss Dons |pblanes &wr la distance de 190 61 200 È 2,72 emmes de 15 aux et Lois Didte De-L Cuuvies ni 
s 7 J « auvrealu abbé 

de change meñt depuf: pe: ere pour représenter au Sénat [iomètres, én portant une charte de, plus, 47,681 sont allées dans lex pays DU RE dut à 

« s $ il 4 R , 2rrier, -E ruchési, { ‘ 
fasse qu un re prese néant « . t- ile s Canadiens franc ais de-PAI-[1060 livres Sa viteise moyenne pour | d'Émpire 823: aux Etats-Unis ci Un sketch d'Henri Letouda .' 

. les 100 kil nd été un peu au, =""1" d2D8 les autres pays. _ ER sé ; 

dien -francais au Se nat soit | | berta. Le SR ane © ss as Des .récréations _instructives ” pour 


L'estime que nous avons pour! dessus de 192 milles à l'hepre «pour 
gouvernement Mackenzie [iles 206 kilomètres un peu ane 
la du méme chiffre 


moins désirable au point de niv 


les enfants. qui pourront aussi <ervir 
national que cela ne fut en deux 


pour les grande p-rsoune:. 


le 


“ous 


n Y A 50 ANS 


vecasions précédentes.” King nous autorise à croire RE | Dés miettes géographiques. *acnti 
Fi Inion conclüt fort jusie- [rumeur saÿs fondement. L'été: ee — , nn - Sade su Hdrairée 

nent : " ment français des trois provih-! La population de la ville ‘ Extraits du ‘‘Métis’’, Auecdotes, mots-bôuf rire, mots d'à 
“Si lChon, Frank Oliver pieces de l'Ouest compte sur In d'Ottawa 5 décembre 1874 tre, chansons, ete, ete, ete, 

nul bon ouvriér du parti libéral {nomination prochaine de M, ee Fe hs . Bref, j"Alhsnseh do la Labgre fran 

11 “élan mivur qualifie pour l Le ssard. s ; T4 O'tawa Au vours de ! murrdes | Nouveau Ministère «aise de 1925 est une petite eneyclo 

roste s'effaéuit aïnsi l'an Donatien FREMONT. niére, l'évaluation foncière de la ville Le iniat CHOSES for pédie” nationale Do 

HYERES devant les droits de no ST 2m e——— d'Ottüna a augmenté de deux ibillions 2 QU ATETR raie Nous défions qui que ce soit de uous | 

tre race, c'est donc que, mémr Monnaie peu hygiénique poids le rapport de M. PH. Veale indiquer. une Datre publication gyant 

aux yeux des. meilleurs libé- tr vajuateur municipal Le chifire uue Collaboration aussi distinguée, uns 


1e lequel l'hon. M Royal deviest 


tal de la vaieur des proprités est le : 
A: 


#117,723%,424 alors que Je chiffre 


abondance de :matiËre aussi complète 
pour le prix populaire de 25, sons 


botine purtie du paple monnaie. 
pa ciréulation est devenue une Imènare 


ministre des travaux publics. 1 


quis, justes, et doivent demeu-! el instrbetion publique et socrétiiré 5: c 25 


üu pro 


rer, ls sont l'honneur et lu là Fusgiène publique. suivant une r< dertiier, éiait de #115815,/715 La Po | inciul C'est cu qui explique que plus de 250 

récompense des grands et dut- | siution adoptée par le conseil de ‘4 Pülation d'Ottawa est, anjourd'hui, d= Qu: roro: ft à l'añcieu abinet 000 peronnes diront VAlmanach de 
< * 1 $ ‘elle éts VA 2 n | * : F * ? # < ù à 

rables rabuux des pionniers {Chambre de Commerce de, Winginpes LIS.0SS alors qu'ell était de 117,259 e + | d'avoir un prewsier ministre à lu° Langue francaise” de 1923, “le roi | 


franc dis d'autre fois, des piua- | lui sugzère que Je recereur gén éra 1953. soit ude augmentation de K49 


« P hate” À 
| |curéur général de lângue frunçai dés almauachs". fau: Canada et aux 
nie ts franc ais d'aujourd'hui, !innce tue nouvetie émission dé pabier ‘ Lé Population actuelle de lu capitale Fu Girurd et ny: > Etats-Unis. 
dans notre revhoe d'Albert"! monnaie est supérieure à ce Chiffre iar le ze « *\ Qi .* 2e 
Nos compattiotes sont d'ac- | 6 20D8-2——— l'censéweñt s'est terminé le 15 septeni | Dés RON M sont ‘ ratès düfs BORDEAUX — Le vapeur belge | 


cord sur le: nom de Fun des! LONDRES — Le: due ‘et la duc hesse | | bre, et depuis ce te mips.énviron 300 fa-| diverses 
leurs qui les représentera di-|de York sont partis nd, pour l'Est | | milles sont de rbtour de leur vilegte” | Québec 


“Gypéis" à fait naufrage à lembouchu- 


re de là Gfronde, Le sort de l'égui- 


| 
uu mols 
[de juillet, démissionne, 11 est rempla 
cé le 3 dé cembre bar le cabinet Davis, 
a province te 
Unis pour ventr 


gmement au Sénat: , l'honorable ! Africain |tute _,* [vu aide la famle Lépine. page est inconnu ; . 
' EE . k « { 1 
ds. 0 » : : ) RE » ie M t 
n.] “ * 4 : É* 
M 5 \ $ é" LU à , 
‘ : g : / ; “ x si $ DM 
« N ml "] ‘ | «! 


me 5 Le Devoir (Omer rh 


-séquemment. et politique dé set 


rassa ä porté, avéc des Parois d'es pé 


ar mpn coeur, dites À toutes les ins- 


Pierre Homiier, Olivar Asselin Ana a" 


tres intermédiaires. : “Liungänisat ton QE. 

Sur Club”, nvèc ses clubs dane 
que-ceéntre condfdéta be à: jar 4 

peut aidér puisenninrent rio 
en <onstitiant coux ét en toi Es pt Are 
la discussion Franche des Lu Dee 
contfverstes. Nous esçtrons que M° 
Bourassa ne sera que le premier d'uné vos 
série d'oratetrs de l'Ést qui me gs  SS 
péséront avec. vigueir et 1'Wodrité) | " 
leurs opinions qui sont celles de’frou 
pes de nos cônéttoyens -cauadiens, 67 


RON 
La politique d'opposition à d'impé 
iisme est une politique “nationale”. 
C'est une ue “nationale” aussi. 
essent que la politique de dé- 
fense des droits dés minorités, Poli. 
tique de justice, politique de paix con- 


LEA 


future. 
‘M. Bourassa &, ébiès à. ses audi- 
teurs de langue anglaise ces vérités 


+ it 


salutairés,. avéc beaucoup d'autres. [que l'Ouest, de fou côti, chverra 2" RTE 
On peut espérér que, tôt ou tard, el- | misslontiutres gt sus avacute pour fai: 

les produiront loùt eflen. Mais, en:|re conhatire son point de vuiù per À 

attendant, la minotité tränco-catholi- les protinces de MEst  L'quté réelle 0: 

que devra patter ét se défendre. Elle | doit répôsét sur l'ettouté iobte du 

le detfa toujéurs, iñême si un jourile compromis et non sûr da sou: 

lou l'autre tombent les. lois ‘hostties, | misélon abiécté. de quélquex tions 


car élle aura toujours à faire ; 
la difficile situation d'un pay: mixte 
et aux causes de falblésse dont toute 
race porte le germe. k 
nos conipatriotes donc, M. Bou: 


paÿs à lautérité d'autre, “setios 
parce que Celles-xi ont la pr “dominans 
een population ‘en riedéske Kf pour 
Je momen!. en panases potinnue. 


Le : vo age æM. Mockensis 
ing dnnÿ'l'Onet 
‘1+ ‘ 
Lx premier minlitre a con tuts, ui, 
fois de plux, quelles immenses esbé: pe 
raäuces ‘ces riches: -prorinées” contré “à 
aa'out en germe et qui défi 'épañouis. € 
#aient en fruit imagnitiféente gratte à 
aux. éltons Wire bopu'atiéi" Ghori-_ 
Que, aux bras ©! eu Cour robatos, 
‘bien déteriithiée triombliér ia us 
lcs cbstaclés, 0 orné 
Peut-on s'étonnèer et, he e toute, 
“trouver à redire si, partole- tous cons- 
‘[tatons par les 6ch6s qui noux arrivent 
de l'Ouest, que ces hardis pionniers. 
ont la voif aussi robuste que les bras 4 
le coeur! 
La visite. que vient de erniner je. 
prewier minis re #valt pour objet, tout 
d'abord, de prendro. contact plus inii- 
me avec Üés populaticifs de l'Onest, À 
d'étu@èr sur place leurs problèmes, È 
d'éntendre" leurs vues, de çonstater 
leurs bésoins et leurs ‘aspira di, 0e 
C'ést là, évidemment, pour eu s 
incombe le devoir de ve ile r à as 
le ,coptentement et la pronpéril 
l'ensemble’ du Cunuda, . me 
moyen de’se mettre en mesure 4 
complir effencement: ea térhe. LB. 
Mais te voyage avait égulementeun : 
autre but, qui est le complime 
cessaire du premier: celui de p 


rance, des conseils d'énèrgte et de 
fidélité à nos doùbes traditions reli- 
gieuses et uatiohalës. 1} leur a rappelé 
‘les conditions essentielles de là force 
et de la grandeur, et la suprêrie blen- 
faisance de l'Eglise. 

L':De ce: nouveau témoignage d'arden- 
syrüpathie, là minorité ne lui saura 
moins gré que des plaidoyers qu'ils: 
à prononcés pour elle devant les An: 
7. “protestants. 

À 


La succession du sénateur 
Côté 


Le Droit (Fulgence Charpeutier): 


La Prèsse : Montré: 


Voici maintenant que lex rumeurs, 
1 -confiées à la. presse 
veulent nous laisser croire que le suc- 
cesseur de l'hon. Jean-Léon Côté, aw 
Sénat, commé représentant des Cana 
diens français de l'Ouest, ser l'hon. 
Chärles Stewart, député Argenteuil. 
Ce mitistre, cfu par ‘la condes-endan 
ce de nos -compatriôtés das la pro 
vince de Québsé après avoir été re. 
poussé par lire dès siéns days la pro 
vince d’Afberta, prendrait maintenant 
le siège d'un des nôtres à la Chambre 
haüte- : 
Ancien. premief futadètre . de su pro: 
vince, battu aux: élections fédérales, :1 
cralnt, paraît-il, de rétourner aujrés 
de ses électeurs, et'chércherait des ré. 


le 


Eions plus tranquilles et plus sere ines, | térfaux provinces de l'Ovest les à | 
moins exposées shrtout aux contre-, @l Les aspirations, conune aussfles 
coups de la politique, au Sénat, et ‘il bédoins des ant res pravineas du 
déplanterai:, cette fois, uu Canadien | nada. ie” 


français pour s'y introduire. | . Nut, miehe-qué le pui “filtre y 
Ce serait vraiment pouéser trop loin | du Canada, n'était désisné pour cette 
l'impolitesse envers notre race, et nous | mission d'inté frét natioua)l, qui cenxiste 
souhaitons pour le bon rigoim ‘du gou- | à réaiffver, par uné couiprélension de 
| vernement qu'il évitera un faux paalces problèmes divers, le Loneorde et 
aussi malheuréux, "car ce fubx pas {la confiance réciproques, £azvs nds 
pourrait fort bien le fatre trébucher | Pensables dé cette unité nationnl&qui 
dans Fabtme des élections prochainés. és: le premier ‘fact tour, ete QIULE 11 

ee — | Sérieux. pour asseoir Eat D. Ca 


L'élection de Hastingr jade. 


7 | 
La Presse (Montrém) : | LE PER 


La victoire de M. Hanna, le caudidat 


fbérui dans le comté de Hastings |Un tiers « 
qui“n’ 


pas de la 
blanché, rénace les 
autres tiers | 


la Confédération, les conservateurs ont | nv 


Signification | 
e méconnaîitre À 


Dans ce comté ontarien où, depuis : 


toujours été malirenexceuélon faite parie ji ATRSet BRTTEUE “4 É 
un terme, CeMi de 1878 à 1882: Où., ministre dés colonies, ancien gouvers 
depuis 1882, aucun libéral n'avait réus : jour de l'hido-Chiñe et meute dé sd sr 


si à se faire.élire; où le candidut cor: | 44 ‘légation française 1! ua 
servateyr, M. Porter, avait préafable | de Wäghington sûr ie dérärmé 
ment remporté le siège dans six ëlec-! on 191, x jeté un cri d'alarme dev 
tions consécutives: OÙ il avait, la der L'un auditoire distingué, à “Paris, en 
niète fois, remporté là vicioire avec! cjârant que la vérituble menace por 2 
une majorité de 1,179 . 


voies | avenir étah ohez les peuples.qui ne æ 
qu'hiet le caydidat libéral, M. Hanna | sont pas lang et. forment te-tiers te br 
a été ‘élu ave” une majorité de 455 ia population du monde, Aix die : Là 
voix. « eye ; | : Pébvine ne__ peut: pethetéghins 

Ce résultat dénote.trop cléiremént rayer aux préparatifs qépilalt le Ja- 
un revirement, de l'opinion publigte | pou, à là tête d ” 
L 4 : du bloc «sie e tre ds 
Ê dont 2 


: 


_ pe peut pas ne pas tenir] lle: “pl 0 europsen" M. 'Sarcaut FE: 
mp que les esprits airs dant Ai JA ot 
Au point de vue purem#m politique, | aux Etats-Unis: Zvtéront un cpuflit “s 

nous j'avons point à tirer des conclu “eruit bien re Lu -mible dau ss 
sions mais le gouvérnement est en fie 


‘18 sur ‘te IL0ûde ue le fu la guerre ù 
Lde 1914 dd 
TM. Sarruul a ajouté, “Uu constant 
la Croissetuen, des peuple “ de coul@ur ‘ 
M. et la tiscusslon | a placé le centresie l'inporiante moh-#% 


| dtale quelque pari dlans l'océan Paei- À. 
des. problèmes nationaux { aus et' une lutte volomule pur las 


Manitoba Free Press { Winnipeg): | contrôle, de. cet #Cfan se déroule 2 en | 
Henri Bourassa, la semaine,  dérnii {tre le-Japon et lés Etrte-Unin” ° M bit 
a été écouté avec atteution et cour. | Sarraut porte à 250 millions d'habi- + 
par, de nombreux auditoires à | tants la population dns peuples de goy- LT 
Witigipeg Notre villgÿ à ube grande |Ïfdr, sur un .totét de :,750 mALige ses 
| largeur d'esprit; il existe bien üne tex) d' habitants JL Qi que lex peuples on 
dance. à refuser l'expression d'options | | couleur. ont appris à connaître, feur@# 

| puissance du fait de la kugrre ét q 
sont soulevés par les haies Eu 2 
ses et te boichevisue ruse, 112 


, droit d'épingier cette victoire 
une à ardé à 


corne 
son chapeau , 


6 


e—— — 


nl re 
tuisie 


< 


"sortant du cadre général, Affais: elle 
u'ést pas doyninante: pouf remarqgius 
au coptraire ua esprit- critique ne 


Î du écoute, pèse et juge. Le a-1t6;, “Le reiéelemeni de la G re 
| dian Ciub” ex particulier à es , | lagne er raphor: axec l'alliarié “a \ 
réalisation de la pért qu'il péut joue #| Gaime a 6t6:dû beuyioup plus. Ua pirgae 
dans notre milieux er fournissant. à {tuation indoue qu'à out déair de (LT ES f 
M. Bourassa l'occasion de perler à L .) be ver l'Allemagie” en. 
wembres, et ceux-ci ont ifesté PTT PE CALONNN Où Pur 


, approbation de ]a déc ; des ser : ? 2 
du Club en vendnt én: grand nombre, a NEWNORK — Ou s + pu 47 
L'opinlon publique doit être. créée | manche uvec smcéds Ha 77 AE 
|en déliôrs des partis. et ceci ne peut | phie) par radio  d'Ameens x | va & 
| se ben que per la diffusion de con. | Unfs o 4 


, 4 PA 2 + * v… 


| &°4 


4 val Hertiot a fait le grand geste 


rx Vous Wy pensez pas! | 
Ni mot, éntendoës acys, ai sutun au 


-27 à Voës nèus conseille; de garder des an 
ce Mel és vaches à huit.” Mai . pour transporter son lait à la station: cela 


‘que bierfôt nous curons de . chaque mois $204. : Mais ée. n'esl pas cela: Ce 


le lait? , 


venff du lait n'est pas du tout 


Ltières Je pourrais tout au plus la conseiller . 
à ceux qui sont près des stations de chemin de 


Je Quant Q “ris ss _ excere le vous perdiez.. votre lait écrémé, c'est comme 


{ vente de la crème. 


À vouloir tout vendre notre: lait à une 
méme compagnie, nous [erions ‘bien l'affair+ 
” des acheteurs qui pourraient fort béen profiter 
" de l'aubaine.et nous payer nos produits au prix 
* qu'ils voudraient. Pour éviter les surplus dans 
+ Les ventes du lait, il faut nécessairement que. Soyez pérsuadés que plus les c ompa- 

les cültivateurs éloignés des stations vendent gnies anront de surplus. moins elles nous paye- 
‘ la crème au lieu du lait, Et rémerquez qüe- rent nofre lait. C'est le plus sûr moyen pour 
ces derniers ne seront pas les plus mal paria-  €lles de faire des bénéfices. Les messieurs qui 


gés. Au lieu d'un voyage quot 


slat : Foule personne souffrante | De choix ...... ANNE RE mem 

idien, vous he dirigent cés inslitulions connaissent te leur 2 même syndièet avait'aussi 9: [qui essaie Les Pilutes Dodd poûr | Bonnes 23:r5t59 1 FAN #2.502-97.00 : 

porteriez votre crème aux chars qu'unr fois affaire, ct si vous voulez leur envoyer des sur- missionnt ea fonds américains, àlles rognons st ravie du confort | Oraimaires esse si, pesé argent 

- ou deux la semaine: c'est déjà un premier plus, soyez certains qu ‘ils ne seront nas refusés. Fer ef. Re ! de et du soulagenient qu'elles Jui | Pour conserves ..:.......981:00 prod pe 
J és cherchent leurs intérèls, à nous Le produit de cet emprunt seMira [procurent si promptement. Des Dé de 
és ccond ul ui ne séraït Le scompagni , 1! Moutons et agneaux— . 

avantage. Uns avanlage, qui me | 4 remboursemides obligations qui vien: | milliers achètent et emploient | outons She : 45.00 SL, Fr 

… nent à éch 1x a un fonds d'a- > . PA Fernimgennses Er RRE ni ? 
Fe mn la deuxième lbs : exclu = Le 3  - pes Pilules unique ment sur. la 


. pas le moîndré, { der votre lait, de brillergur les ôtres. 
écrémé pour vos #1 ser “Je vous prie °° y dance la fromagcrié À sara 


de bien réfléchir ct de bien énun 


-de remarquer que jen hui , par mois. Alors ses 3,000 livres seront vendues 


é de ne faire que le commerce Da pa 
* du À Au contraire, je vous ai dit qué cette à $255 les 'cent livres, t'est-ä-dire $76.50 et 


re a+ nee gonehs où esmndee à e 


La 


M. Stephen Kozak'a trouvé #ù 
Ô bar due» eg dans les pilules 
et en recommande l'u- 

sage à'ceux qui souffrent 
Okno,  Maÿ.. ler, décembre 
(Spécial) — “Après avoir pris 
six boites de Pilules Dodd pour 
les rognons, mes douleurs de 
dos disparurent ct je n'avais 
plus mauvaise halcine le ma- 


ani PLIS Les ceui eres de scroll irès Men. |. 


ss fl pourrait bien se: déranger Tous les jours| 


-vatdrait l& peine de $e déranger, pour relirer | 


Map'e Creek, Sax. , ç— Cinq 
bres d'une bande de voleuxÿ dé © 
vaux ont reçu leur sentcné@ du juge 


eü chef Brown. A-P., aid, | aux Pilules Dodd”. “ 


Ÿ Frank Shufletuski, Charles not C'est le témoi age de M 
+ Russel: Drury ünt été condam à Stepheñ Kozulw de 


trois ‘ ans dé pénitenciese pt B: Kianick | ]} nous envoie. ceci. commésii- 

à vingttrois mois de prisomr. : gne %de conduite pour ceux qui. 
—_— 22 D0-2—— | 

souffrent. Il y a deux choses 

He ne conbient | Un emprunt d du Manitoba certaines en ce monde: la pre- 


d'alun et ne : : :"[miére c'est qua nous sommes 
‘ pas Un. syndical financier. comprenant | |ôus sujets. un jour où l’autre 
Jaisse nids 


monsieur n'a qu'üne moyenne de 3,000 livres|, 


‘surplus, 5,000 livres, ne. sera payé que s1% 
d'ordinaire;-c “est-à-dire 860.00. . Dans cé ‘cas, |, 
c'est Te gras de beurre ou la crème que l'on| 
vend aux prix qu'on veut le payer. Bien que |- 


l'industrie lai- : 


pour-les mauvaises herbes: vous payez _ pour 
envoyer à W innipey ce lait qui vous serait si 
wie 


LS 


tes malsons Wood, Gundy and Co.. Do- | à une attaque de maladie de ro- 
‘| minion Securities Co., et _Strand and | gnons; la deuxième, c'est que 
" Snewdon se sont fait adjuger-hier uné | les Pilules Dodd pour les ro- 
émièsion de #3,720,000 d'obligations! gnons soulagent tous les mapx 
20 ans, 4:; pour cent de la. provinec | de. ragnons comme le‘ diabète, 
du Manitoba, au prix de 95.021 en {f'hydropisie, le rhumatisme, les) 
fôndé canadiens La province sé trou-| maux de vessie et les troubles 
ve à emprunter sur-une base de 4.89. |frinaires,. méme quand d'au- 
.Les soumissions ont été ouvertes |tres remédes ont été CssAavÉSs 
par M. F.-M. Black, trésorier provin-|sans succès. Hé 


- Mais comment se fait-il. -que les com- 
pagnies demandent loujours de nouveaux ven- | 
deurs de lait dans toutes les localités? 


| 


sivement francaise de la capitale al | 
bertaine. ® : " 


mortissemefñl'de d &emi pour ce sommandation de leurs amis 


vérer les pirtes, des services immenses aur cullivateurs rail | i ont découvert les propriétés 


que subiraient ceux qui hié-sont pas plaëés* gnés des stations et à tous les producteurs de} 5, R p ravernier. OM. FRE en | Demandez le calendrier de jcalmantes .ct adoucissuntes de 


-_ dans des conditions voulues pour vendre teur lait. C’est le seul moyen, avec la vente de la! gsiñquement secondé par ses parois |. Saint- Joseph Met FR . 
lait. Ê a créme, d'éviter les surplus qui tuent la vente |siens, prépare de grandés fêtes à l'ot- : rnecis Ê] 4 s cs 
Supposons un homme qui vend 8:000 livres . du lait. M : ‘casion es noces d'argent de la plus | Le Calendrier. de Saint-Joseph pour ‘ LL 
de lait par mois. S'il le vendail’au prir du © NC: JUTRAS, ptre. 1e d'Eamonton,. PR uce 1925 vient de paraitre! Il “] 
| ee | La COUT'SO de chiens de Big RS sn “date obus: your est éerit au bus de chaque quan- 


TT ‘: Pour l'honneur de la France — ea- * à River, 8 Sask. de } Sainte-Famillé au repos, à Nazareth?, 

UN JESUITE ANCIEN COMBA ANT | des ous ce mot comme je Y'en ; | est un, véritable chef d'oeuvre. Quant 

| tends? — pour l'honneur de la France,| pig River — La’ quatrième ere au calendrier proprement dit, nous 

PARLE ENERGIQUEMENT A HERRIOT ie nous ne dirons plus cela à 49 | annulé de chiens organisée Par lux | w'en conalasons pas de plus para: 
hour Donc, nous resterons tous” : 


Le R. P. Doncoeur, Jésuite, officier 
. la Légion d'Hopñeur pour faits def: 
guerre, a. publié; dans la “Victoire”. 
“une lettre émouvante à M Herriot. 
En voiei le téxte: : | 


d'ou tout larges les deux bras en- 
. core lants de la France et a don- | 

mé À tous les msérables leur pardon 

Far la porte ouverte on a voulu faire 

passer les coupables et tous les lâches. 

les. iusoumis. les déserteurs et les | 
Éd .traîtres. S'ils reviennent pour servir | 
let réparer, j'applaudis. 

Mais cette même porte ouverte aux 
frontières, le même M. Herriot, du 
haut de la tribuñe française, il nous 

a montre, pauvres bougres de reli-| 
x. rentrés le 4 août 1914 pour la 
7. | 


| 
| 


non, AUS ne pärtirons pas. | 
Pas un home, pas, un vieillard, pas 


; un novice, pas yne femme Be repas- 
sera la.fronutière, Ke!a jarnais 1 
+ J'ai vécu douze aîs en exil de 22|. 


; à 54 ans, toute ma vie WKhomrmie. . J6 | 
2 août | 
(ais à | 


vous ;le pardonne,  Diais 
1%14, à 4 heures du nmiatin, j 
, genoux chez mon supérieur S 
demain la guerre, aije dit, ma pile 
est au feu”, Et mbn supérieur m'a | 
. béni et m'à embraésé. Par des trains 
insensés, sans Ordre de mobilisation | 
(j'étais réformé}, sans livret militaire. 
j'ai couru au canon, jusqu'a Verdun, 
Le 20 août, à l'aube, avant la reprise | 
du combat, à je recherche des blessés | 
du 115me, favancaéis agdelä des pe- | 
tits postes, quand tout à copp je fus | 
- envelcppé par le craque me nt de vingt 
l'tusils, et je vis mon camarade étendu, | 
de son long, contre moi. sur la route. | 
da tête broyée: -Le. poste alle rmand | 
Î 
l 
1 


était à trente pas. J'ai se nti à ce mo 
ment que mon coeuf protégeait tout 
mon pays. Jamais je n'avais respiré 
l'air de France avec cetie fierté, ni 
Sos mon pied sur Ëa terre avec cette 
assurance Ù : | 
Je ne comprends pas encore com-| 
ment je ne fus pas tuf. alors. nivingt | 
fois depuis. Le 16 septembre, j'étais | 
fait prisounier devant Noyon, en plein 
combat; eu novembre, j'éiais de nou- | 
| veeu en France, et en décembre je re- 
» trouvais le feu avec la plus belle des 
divisions, la lime dé Belfort. Areec | 
elté. je ine suis battà trente mois, jus | 
que deryant Mézivres, le 1] novembre | 
1918 J'ai é trois’ fois blesse, je | 
| sarde toujours sous l'aorte. un éclat | 
| d'obus_rec u dans la Somme Et. à} 
mobilisé, J'äbeammis le crime de re | 
ter ched moi. Et, méigter nt vous 
me mositrez la porte. | 
‘ Vous fBulez rire. Monsieur Ilerriot, | 
Mais on pe rit pas de ces choses | 


Jamais, pendant cinquante mois, | | 


vous n'êtes vènu mo trouver, ni à Tra-| 


cyle-Val, ni à Crouy. ni à Souain, niig 
N au foit de Vaux, ni à Brimont, ni'a 


1 
! 
la côte 264, ni à Tahure. Je ne vops | 
ai vu nulle part me, parler, et vous | 
o-ez me faire sortir aujourd hui” l 
are | 

| 


* tre (car tous ceux qui étaient eu age 
de se battre se sont baitus), ni aucuge | 
fexmuee, nous be reprendrous la _ 


de Belgique Ù | 
- Cela jamais. _ Ù 
13 Vonne Ge dons voudrer, | 
L L F sd d ; CE 4. 
| ER j û 


+nous effraie. Nous ne tenons à rien. !Oblats, l'église Saint-Joachim est en- 


! que hous ne voulons plus qu'un Beige, sent chaque dimanche à des heures | 


tième, les vendredis et jours de Jeñnn 
et d'abstinence sont indiqués par un 
poisson rouge, les fétes légales sont 
inarquées d'une croix rouge, une indi- 
cation spéciale, avertit -des Change. 


Chemin Sainie-Fcy, Québec. - 


| 
| 
| 
A : A LE" | 
ni à un toit. ni à un champ. Jésus-| core confite à leur ‘sollicitude, et sert | 
.e Î 

Î 
| 


Christ noës aüitcod partout et 


depuis plusieurs années aux fins reli 
suffira tpu,ours au bout du monde. |;ieuses des populations catholiques | 
Mais nous re partiruns plus parèe | anglaise e* française qui s'y réunis" 


Le jubilé. de M. Branly 


Paris — On #:ent de fêter les quutre- 
vingts uns du grand savant françai: 
qui. déchuvrit-Je-principe de Ha TS. 


ns Din ar tombe de aoë sociation * . SP. “| à Les CET gi lo ments de saisons, les carreaux: libres 
£ aura leu à ig River “ 5, 4 et 5 mars. | eux comaurs, e nom du £gaint du oÛ le bas des page renfermeit de 
vous Dé ti as nos maisons, vous nous | MOfts. à | . : ci | = ‘ pieuses sentences ou d'uties rensei 
ouvrirez vos lyrisons — il s'y trouve Et si nougfevenions tout à coup RS _ . rer gnements, | . 
en effet dei places laissées vides par des Ag s. djtes, nous Je ne at \E  EXPEDIEZ VOTRE ORAN À LA à dd *! Enfin, — heureuse inn2v2\;up, 
qui vous savez — soit# | vous, Câfparades? | ui SRE llcbaque page des mois donne les der- 
Mais partir comme nous vons faît . ; (1 NORTH WEST COMMISSION COMPA # niers jours du mois précédent et les 
jen 1902 — jamais. À Les noces d'argent de l’égli- | 103109, GRAIN EXCHANGE, WINNIPEG, MAN. premiers jours du mois suivant. 
Nous'avons aujourd'hui un peu plus se-mère d’ Edmonton L | Ptei Naûta Sri és — Riv'ergenle:, SL L'Ediés Bref. le Calendrier ‘de Saint-Joseph 
de sang dans les veines, el puis, sol- ni E | Le 7 Porteurs c de gärantfes A pour l'année 1925 est le calendrier re- 
dats de Verdun, nous avons appris Edmonton — Le 8 cotes pro- de #Bénquiers: ‘Union Bank of Canada ligieux le plus beau ct le plus com: 
aux bons endroits ce que v'est de s'&"-Echain on fétera ie 25me anniversaire | ' plet qui aît encore €t6 publié en Aius 
crocher à un tertain. Nous n'avons eu | de la pose de la première pierre de ||||. ECRIVEZ-NOUS POUR ENSEIGNEMENTS, | pi 1 rique. 11 mesure 17 x 52 pouces; c'est 
peurini des baïles, ni des guz; wi des | l'église mière d'Edmonton. Les pas | CORRERNERIES en français \ US vraiment le roi des calendriers, Ha- 
olus braves spas de la Garde; nous | de Saint Joachim ne veulent pas lai: | Bug Do gérant - North West conne Ltds tez-vous de le demander avant qu? 
ln'aurons pas peur des € mbusqués de | ser passer inaperçue cette date glo-| ÿ Téléohones: Bureaux: A 3297 — Rés.: B 647 l'édition soit Cpuisce. , 
: la politique. rieuse pour leur paroisse. | Prix, 50 sous, poste paÿée. _ 
: Ce n'est pas de courir au diable qui Cofstruite par les soins des Pères = = Adresse: Couvent Saint-Joseph, 79, 


jou qu'un Anglais, ou qu'un Américain, | différentes. Mais la propriété de l'5- | 
ou qu'un Chinois, ou.qu'un Aliemané, dificé. reste à l'élément français, ctf 


tee finissant Fe ler  Aécanbre 1% — 


_ te ue | 


nous rencontrant un joûr loiu’de no‘re quand, à a-Noÿt prochaine, 14 pa” “,.t a Te F. Né à Amiens en IS46 M. Branly 
pâÿs; nous “pos e certaines questions | roisse anglaise de Saint Joseph prrer- San  % | Mardi Me rGs Jeudi Vendi ‘Same dÿLunci 1 ‘entrait ‘en 1865 à l'Ecole normale. 1! 
auxquelles nous répondrions, comme | dra possession da” den SRE PA la |. GRAISS . 25 fev. 26 nov’. 27: nov. 28 nov. 29 nov. LE Le EC. le sortit agrégé des sciences physi’ 
jadis, en baissant latête: ‘La France cathédrale qui lui sérvira d'église, “ EF PE De "À So quês ct naturelles. : D'abord’ profés. 

= À 7 à AA) PA ER 3 3 3 111 
nous a chassés”. ‘ SeintJoàchim deviendra vnilingus eut BIC No LL à sd er L he I . : RES l'on À 633. 4 sa seur au lfrée de Bourges, il entra à 
: ' QU L OU £t-0 3:41 Ds 1 394 1 SE« 9,06 Ta rbonnè qu'il quitta bientôt pour 

———— ———— ee ——— 3 NO 1:55 148% 1.544 1:54! 527.1 à2: 
di. É lu l . ac et À ; STE) ée s Pr ! TU Fa M LT aa ET esser à] Institut catholique. Ii 
ujour ui je ne out e us L es aa e Voine MN u , 84% Dé: nd: Di: - 904 -913 l'avait obtenu en 1873 le doctorat és 
j P 3 CM de ne 55; 56% 55% 199 .54i -547 sciences etyen 1882 le doctorat en m6 

J " -lGrge 3 CW 83! 83 31 .N27 -.82! ue É 
mes forces se sont beaucoup augmentées”, SR DE D cu 
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Sac de 98 livrès ....... PE CE TR casa 


x À 


n “ \ x : pr he L # 4 # : dite 

dit Dino Aüêlis Lérerte. MF Gr | ‘ s | F T5 me mix Era ta ou HEC 
du: WG ên wiifth, sobhèt 6e iébbie| — | EE a gr ps 9 n'apper | 

la 30 4. Gérer, ot M L'bavéren. père. partie du résultat pécuniaire 
à Mis A :latérii Mlle K Gspréet |. 
‘étais file d sûr et ML déerts 
nt bin oser né sa 


FT 


timonts .de notre _reconnaivaanee s | météreme, à l'école; Avon, d'avoir. si 2 ue Hors tarte 


tous ‘ceux qui ont contribué, de, quel } bien préparé. en si peu de teniys, une 
que facon, à notre bésar dont. is’ seu. | séaiice qu'éf n'uubliera pas de sitôt: nôle aux Fermiers Unis, c'est-à-dire aux 


ape 


Le grând vibre ns ps fermiers désunis, l'association. 
éttitie. à ba" d6t venir restera longtemps gravé dan: [entre leurs mafus intelligéntes ét né-| pratiquemep:. vaine par UM C. 
‘de fesétrén: le coeur des geris du Portage.” A tou. | vouées,eellés sévent faire vibrer les LME 
parents de ln nds |"n Ccordial meref. lames, les coeurs dé nos chers enfants): M. Henri Lacerte. ‘président dé f'As- Or; 1 
diner. Te: auf leur domt cames. sbciation. d'Edusation des Cansütens| M: À Allard 
n vieu N-D.DE LOURDES | Cent un vrai négat pour des parenta|françals du Manlobe, accompagné | Are Jourdain” 
aussi de la fête. PA -}de_vôir_leurs érifants, seibfébies x ami, Goit Venir dans nos paraçes M R-M. Poitras ....,... ..... 
“Lés nôuveñux mariés reçurent plo | Séance des Enfants de Marie | de: Fils Boutons. de ronve, s'oyvrtr et dttadene le 7. courant, dans le but, MF Lagimodiére _._......... 
steurs pneu fques, éndéaut j Le comité d'organisation lle lu sé s'épanouir en disant et eh chantant si| de percevoir nos contributions ro ag et FR Éoascataarortee 
L i . de Wildrose, s'en ef . © [ce invite les paroïtéses environmante uen tes paroles, dans belle tangue | l'Association. M:-Ant. Gisgras ............ 
Rex avéé unie blessure à 1a handle et Le 16 drembre à y a eu une parti |} cette soirée récréative et musica M. C. Royal ...:--:... 
Fi | 4 s'etthtratné pendant une tuile pour | de. cârtes dans la salle municipale, au | Voici le programme qui sera exécuté - M. Jos, Marchand .....:....... 
ne cbéenir Er 4 profit de notre église. Les récettei |. Orchestre. D 06 Detker .:......... 
ont été de #200: |: “Mme Beaicardon a rêvé chats”; . L M. Bus. Dufanit............,.... 
:siodvetie brasserie Adinr vieii E x pi No nets ce M. | 
di Éu-opératién; elle oceupe un: è  déux actes. bd te : Fe} M Louis Eavallée, fils -........ 
WP à reta sé de hs : _'SAINT-LOUIS Chant, par M. Noët Chalumeat. nues sur. ÆT COwLETr M. Joé. Lavailée -.............. 
DAT om ee rm : ta en. w+ | _ :rête, de Linotte”, monolôgue: (Mi! … Percepteurs: . MM. 3. M + A Des 15 
à ra. su ve ne op de bent |. Pvéreit Lunan et a 6 Raymond Neefs, MA. Leverrier. : Mubier. | | Le Es ROSE os 
F g grep les deux jeunés gdrçons de Saint-Loui: “J'rénds mor tablier", comédie: « ; | M. Jos. Labbé RP CEE M. Eug, Bruce .......1........ 
ae immédiatenrent : À Ja télieir:détonêre dont le succès en appréciation des 4ani-|un acte pute oi 2n7 me” bre Te: 1-00 lagte Afxendrine Bruce. S 
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: alle du collè 1 ü ande p: "e , . M. N. Jolivet 
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" rss 8 € A a e! », £ / 
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pement, 1} Dh .éfsparaitre, À | lémise. Le discours de remercier eut Nous venons féliciter :dlles Ro 44 Total 324.75 HERO ÉCART 7 ER 
: douleur d'une entorse et apporte u7 ne PERS ‘ 7. | Sénéc: r» Carriè auccas dat RE NE A rt) / at MD MR 
. sowagerient bienfaisant Ad er des de M. Je Curé, à la fin du bazar, a-ét* parole unisée Dar les, ag front | RUE BERTRAND {| Potal .,.,......... 4. 
ÿ : . coMtüsionnés et malades. Si'vos jon- | fort apnlaudi par l'assistance. Les L Et L re | PerSpteurs: MM. D. Dupas et H. |: RUE OAK AP . 
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Ai envoyée au “balai ; “unesse, les maitre ses des écoleè d 1 l'abbé Brynet ......... PRE 
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is Joseph = Ce n'est pas la mème &hose.- Les taxes, on est obligé coeur de c hojgf ses meilleurs sujet Mine “A. Gfréau ..…. rors.e 2-04 PT RQ En rs 
l te TUE tes payer , Ÿ et ses Beilfeurs morcéaux; pour Ma cir | Mie/B. Longpré : re 
ÿ sé “Jean-Baptiste C'est-à-dire qe tu n'es pas oblixé, mais si tu ‘ M/Aug. Van Raes ... .… 1.00 
bé Yék pales pas tu perds ton terralu Tu n'es pus obligé non fev di constance. Île À, Rodts L | | +, 
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RS ue ce annee 'émutete ét à [asser grande, ni les oreilles ânses On | 7 Péoian dE x” 
D 2 Déndes pas de prenne r n ot. Où, s ae mi |gues, pour voir et éntendre un cheri M. A Savoie : 25 
ne É Hieet PTS HN UT À a. s # La à | si varie ME. Pelietier RD .. +00 
airnées avec dus enfants en ne âge Le qt à fs La funfure des mirii ons #4 tambou | M. J Gauthier . 2.09 
\4 si ip Sp D 'onilte L Han des i va ne! rins n'a pus € ruint de 6 envoyer à F1 rnb ls : pi 
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ï | nr s ei #i ieurs” Est ta doublés pret irque els ' & : 
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, dre lesx' denx bouts et pu tes intérêt Crotsstu un seul instant ce « ort bglle hume 2 , Le 
| = esp rh femins seule 44; Je Mean » F' arri tveé u ah Us te de r Vosois, F ° xPLE . | M. J.N. Senez . .$1 co | 
penses dohce sérieusement avant de parler [ Dans Le différents morceaux joué Mme L Kelly ; : à Lui} ‘ CANADA PACI UE | : EUROPE 
Joseph Je crois bien qu'ils verraient de là misèri f D ant monolcgués, diilognés, etc: ti Louis. Tétre: ult | 1 00 | BILÈETS EN VENTE UE .. Bit : 
: i « ‘ #1 ; Smesree ‘ LETS EN VE BILLET deg À 
i du dus papuets et sadbune qu RE M et par à: . faute. on paf t évaluer le nombre des cxéct:| M Modeste Sabourin cesser L08 + S Téus les ee nd iant : 
L] petites volontés séfa peut-être oblizéi ux jour, elle et ses rèrps ot tanté à 70 et un certain nombre re | M. F Shi mnowskys . PER 100 vs tes jours pendant décembre ‘Certaines dates pendant dééembre, + jusqu'au s oviér 1925 
n ET LV ie Rom üe ce pm e ral a p H ae pa | j Ah gRttaient bien de ne pas figurer. ls | M- M: uurice. Sabour! ny. d 4ta! jusqu'au 5 janvier . 1925 ‘+59 : janvier, février Pour forts de l'Atiantique 
s & des angoisses Et des pleurs dé Ya mére comme den sOUNrances et_des <e promettent” bien de se füitraper in Mme G. Pearson .°:....:..:.... 10! . Limite de retour, 3 mois Limite de retour, 15 avril 1925 (st J , pce d Port!and) 
* misères des” malheureux orphelins e ) + M. JA. Desjardins .... deu cs 308 : "+ 
'% $ doseph Je'suls un peu pressé aujourd'hui, inais nous" en Fe prochaine fois — O. Clin Mars .,.,..-.. PR $ 
K {. par ns FA À dk Deux petites piètes ont fort ‘divert | # W.-M. McKenzie ...,,:. ee 209 | . * 
. . piiptie u FL { ouuras, J1Dhis »j îiu AsStures, pre er » - È 
D, sJégnchamile =; Quand in voudran. mais à Lars pré Ms asélante; “Croquemitsie”, joues | M. A. Léplante : "49 TRAINS SPECIAUX et ere 
{ pire régretter 3 + à À par l'école de Suint: Malo: “C'e si trop. | - : 0 hr ele o on FD SAR : 546! << 
. |Es 5 * dé: k ‘ à ‘est trop peu”, pur l'École de la Ito | y 1 M ot og . À AERA pe He . DIRECTEMENT A L'EMBARCADERE À ST. JOHN POUR LES DEPARTS DE DECEMBRE xt 
1 é a AU hé chelle. M. X.__Gôrman: ; PPT: NET 3 ù » è : } n N 
156 LA SAUVEGARDE (Sp sans nu pts ee Ra ru El Mens mn: | 
ÿ | à AE || petites qui nous .on; ‘eharmiés par la | 4 £ Lu 3 i vanne ë né : 
11.4-1. MONNIN, ngent spécial pour le Manitoba, Victory idgé, Winnipeg :|l! délicatesse, la justesse et In ‘jolless> | + : ‘as a re < D | | 
{ 7 RAYMOND DENIS, agent général pour l'O onda, Sask. de leurs pétites voix. s FI P.. Desrosiers ........... dede 4 È 
À ;* ep J ° { : Merci aux chères rs de Saint-! Dr J. D. sn ee de ed , ” _ $ 
| ! HA AUS É , M. E 1 un ces sx de 8 ve ini 
\ 3 | On demande de bons ageñts Jéaux , [Il avéré. maîtresses de l'écdle de Saint | LÀ PT: ag :1208 - = 
‘3 | d Ù - Malo, à Miles Annie Delorme, maîtres- | 1 ARRETE j 
D" LE Len à lu Rothelle el Rose Dklhns Morin. ! Total. :.. à 4 Fa 
“ 1] tes se OL RE 
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de Mine R-A. Smith (Nn 25996). , 
; | 2.— Une robe de chambre, purnée par 
vous M. J. McRae (15850). 

rio- 3—Un parasol, gagné par M. AJ. 
cité, | Messier (1622). 

. 4—Une épinglette, gasnée pr 
Z-H-J. Murphy (4087). 
5—Une montre en argent, sas 
par Mme Denby (16990). « 
6—Une couple de 
par le No 28348. 

"ie différents objets de la fombola 
ont été gagnés come suit: 

1-—Table en chêne (3926), M. ‘Er: 
nest. Gagnon, Saint-Boniface. 

L2.— Fauteuil en ciêne (4887), M, J.- 
Ÿ. Davis, Montréal, Qué. 

3—Sac de voyage (6355) Mme A. 

Caplin, ave, Notre-Dame, W'nntpeg. 
4—Lampe électrique : (6317) M. Pe- 
ter Loughran, rue Fort. 

5.—Cendrier, me M. l'abbé Mo: 
quin, Saltel, : 

6.—100 ma 50] (6950), M. McHale, 
247, rue Carlton. 

Encore une fois wous Rss à dire 
un cordial merci à tous ceux et celles 
qui, d'une mañtére on d'une autre, ont 
gontribué à faire de notre bazar un 
succès ina u: Déduction faite des 
dépenses, il nous reste une somme de 
$2,600. e 

Le Comité du bazar. 


Ecole du Sacré-Coeur - - 
Premiers de classe en novembre: 
me grade: Laurier Gareau, Noé 
‘Chevrier. 

. 6me grade: Ernest. Vien, Alphonse 
Fontaine. 


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à 5 b.. fans la salle du Cercle Proven- 
cher. des Chevaliers de Colomb, rue 
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Mort de Mme Gaudet- 


Mme Célina Gaudet-Théroux, fille de 
feu l'hon. Joseph Gaudet, de Gentil 
P.Q. est décédée Ié 2 courant à l' 
de 74 ans et 8 mois: füuatgjai 

pouñ déplorer sa perte, uh fils, Heft 
Brunelle, de Minneapolis, Mian.; trois 
filles, Mmes J.-0. Faubert, Saint: Rémi, 
P.Q., Paul Sala et J.-H.-N. Leveillé, de 
Winnipeg; un frère, Alfred, de Nico: 
let, P. Q. et treize petits-enfants. Le 
service aura lieu veridredi matin à 9 h., 
à l'église du Sacré-Coeur, et l':nauraa- 
tion se fera au cimetière dé L1 Salle. 

‘ La Liberté prie les familles Sala et 
‘Leveillé d'agréèér sés respectueuses 
condoléances. «4 


GENEVE — Le Dr Sélani, min 
du gouvernement canadien et délégué 
b la conférence sur l'opifim, a été élu 


ds £ comté concernant la fä- 

ricdtion 14 vente des narcotiques. 
A —— — 
cüractèrerle plus ordinaire d2 

ceux qui déplaisent aux autres est di 


se plaire trop à eux- mêmes, — D'A- 
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Le colonel Webb est élu mai- 
re de Winnipeg 


Le colonel Ralph-H. Webb a-été élu 
maire de Winnipeg «pour 1926. Il a 
défait.le maire $.-J. Farmer par 4,700 


jamais obtenue un candidat à la mair 
dans notre ville. 

: Ce sucèès en a surpris un grand 
nombre. Le colonel Webb est un nou- 
veau venu à Winnipeg. 11 y a moins 
de deux ans qu'il a quitté Montréal, 
où il était gérant de l'hôtel Windsor, 
pour venir prendre ici la gérance de 
l'hôtel Mariborough. 

Le maire Farmer, représentant du 
parti ouvrier, qui'se présentait pour 
uni troisième terme, a perdu du ter- 
rain dans tous les bureaux de vote € et 
fl était visible, dès l'arrivée des pre- 
_miers résultats, le soir du vote, que 
son adversaire l'emporterait. 

On a enregistré un total de 39,316 
‘votes, ce qui représente: 3,579 de plus 
que l'année dernière. 

Voici lo résultat par-quartiers: 


voix, la plus grosse majorité it 


Farmer Webb 
Quartier No 1..... 3,913 11,465 
Quarfler.No 2..... 6,263 6,785 
Quartier No 3..:.. 7,132 3,758 
11,308 22,008 


Majorité pour Webb: 4,700. 


Les échevins élus | 
11 n'y a pas de changement daus là 


| formation du conseil ; tous les échevins: 


sortants qui se représentaient ont été 
réélus. 


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_MINNIPEG ne 


a de Marcel Grand- 
jany, le 16 » 16 décembre 


+ Veut-on dar: cat comment Marcel 
Grandjany adopta la harpe pour son 
instrument favori, au-lieu-du-piano ou 
de lorgue qu'il jouait également bien? 
À, l'âge de 8 anb, Marcel Grandjany 
alla demeurer uvec une de ses tantes 
qui avait toujours ardemment désiré 
devenir une harpiste professionnelle. 
Cemprenant que le tempérament du 
jeune enfant se plierait facilement à 
{l'étude de la harpe, èlle mit tous ses 
efforts. à développer les goûts et le’ 
talent de Marcel dans ce sens. Le 
jeune artiste ne tarda pas.à dépasser 
toutes les plus ardentes afpirations 
artistiques de sa tante. Une intonsité 
d'émotion qu'elle n'aurait jamais pu 
atteindre, à laquelle s'ajoutèrent une 
délicatesse des plus subtités et ‘une 
richesse d'expression des plus” raffi: 
nées, .le rendent maintenant immortel. 
M. Grandjany se ferä entendre 
Winnipeg, le 16 décembre, dans ü 
concert qui ne manquera pas de sus: 
citer un vif intérêt chez les amateurs 
de musique. 

2, 


| Parents coupables de négli- 
gence gro grossière 


Le jury du cdroner, après enquête 


fillette de M. et Mme Robert Watson, 
de Winnipeg, a rendu un verdict de 
mort par la faute des parents qui ne 
voulurent pas appeler le médecin pour 
leur enfant atteinte de diphtérie. Le 
jury a déclaré que les parents s'étaient 
rendus coupables de négligence gros- 
sière et que les adeptes de la “Chris- 


, Quartier No 1 Îtian Sctence” avaient violé-la loi mé- 
Davis ... DE meerees 3,100 : dicale du Manitoba en essayant, mal- 
Læéch .. ND eme r r Te 4 4,093 Elu gré la loi, de guérir la fillette. 
Pulford *. -....... grosse 3,743 Elu| Le Dr Fräsér, médecin de Winnipeg, 
Shore SSrss died scores 4,185 Elu}, déposé qu'on ne lui avait pas permis 

Quaîtier No 2 . d'administrer l'antitoxine à la malade. 
Anderson ,.:......,.....,. 1,206 Le père s'y était opposé én disant qu'il 
DONC 1. nos 3,558 Elu | avait confiance dans la “Christian 
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puis des années je souffrais de ‘ 
maux de tête nerveux et de! 
douleurs d'estomac”, dit Mme 
Augusta Siekert, de, Kendall, 
Wis. “Après avoir essayé tou- 
tes sortes de remèdes, j'ai en- 
fin été soulagée par le Novoro 


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1 avait étranglé chez Se gour la y 
ler, sa tante, Mme Sÿymchèsyn, 1 
preuves les plus fortes contre lui ont 
été les déclarations écrites qu'il avait 
faites. volontairement après son ‘arres- 
tation. 


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is té LÉ 4.37  u ‘à Note PAR 255 rois PIN PES Le y Li D d'Énaos #6 2. [A mon sujet. Comme ils s'en ret 

s or “ 2e s er auabe n'je ne jats. . rure.., naient, Jésus se mit à parte de Je 
et dit au peuple: .Qu'étes-vous, ABS . 


“ e de mon l lim: RON ES F fe. es 3 dt chez dll k sr"a "aan deres ae onénenai én|tranchant plus délicat. à 


rpg eg oùrs, pie, re --Pétriésesie dans de l'eau contenan 
16 er-4n6 4 aber à i ne: inguais pas de X peut 5 rés t fausse. CE. | un peu de bicarbonate de orgues. 
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RS RAT) 


dette "eau et remplacez-la par de l'eau | srbabflont de la: sorte sont ii 


| résidet prier dans mon île, ns-|lui-demander: 5% +, =Mfaisoui, Dinette.- Engrandistant, édrn« nie dent mettez du chlore 19 | pajais des rois, Qu'étes:vous 
7 KE ; Leg : sl 15 Patte bi : Linelte, tout 1 “ ADR: El APP). af à hesi | Maux place du bicarbonate de Oui: je 
24 La mragg wave bai ue y DE ea else Den oral, Linefe. het ce ets ne die EE Men pour toi, ele Me abe ln Lt à 35 goutten pour ane Ur Lie canne où pou ou Ve DS 
2, a apportés jout “déshabil-!mom de Philothée que je lui Ælle Lit pére Le ; ES Fe a par avoir plus d'espril el par comprendr fe. que, de beurre); pétrissèz et remplacez ox | ser e‘est de-lui qu'il est écrit: Ÿ 
| urs feuilles, leurs pau-Pdonnai, en souvenir de-saint| RCE PORN PEN à d pl mer le. ronge. est de défaut de aux qui.-n'ont suite par de l'eau pure. \ devant vous mon Ange, qui vou“ 
a.” pélils pieds nus, et: nous | François de Sales et de sa chè- mütlice amusée, puis avec yne sincérité non bas de d'avouer leurs fautes, par peur Votre porte grince ? 


" rèra la vole. : ‘ 
C'est énervant; et vous n'êtes pas _ Lo, 


tions en automne. Je les plai-|re pénitente. exempte de blague, elle m'ayeuait : des grondertes, dés punifions, ou parce qu'ils 


2° — 0 ED —— 7 à 

beaucoup: “Grandspére, 4— Mai Mademoïselle!. Vous savez. FAT E ‘patientes? Alors prenez un crayon : 4 bas Le 

Ù mi “Comme les oiseaux ont des| :.: ats non, motsege... Vou - sont trop honteux d'avoir mal fait. semaine: 
k s0 ef rte LE ch rs pe nv ur faire | bieh que je raconte tout celaÿour' vous amutsri or de a mais c'est Die f plus. honteux) gene sv ue CA (Péatn.: Bi Ms mors dre 4 
fl ti Rai cr en. ont let pour m'amuser. FR ‘d'étr teuse. ‘être gourmande! + the Lu | seudi & décembre 2: te hard. 
: avoir peur, tout petils et tout\fesoin.<t les cetfe ont: leurs hu ER n Pie d'être meñteuse'que d'être gourmande: eu embre + 
seuls, dans Ja nuit.” aiéeus s orts M7: 1m Oui, je le sais bien! Seulement je te de Puisque tu es un.si bon petit ‘avocat, Vendredi 5 = 8. 'Sabas: me 

À _ÎL ne leur arriva rien-de fà: mar 4 ile Ame sd ere demände pour que tu t'habitues à prévenir tes Linétte, il faudrait expliquer toût cela à ta A Samed{ 6 . S. Nicolas. - +. 28: 

à ue Je hs vis très gaillards, |4 couvert, prenant la fhicheur géns que tu leur as raconté des histoires de‘toit ser; tu verrais qu'élle se corrigerait bien vite. RTE nes Hs eu 7 — a tinaaige 
3 | ee Fa Si ru PA re d'ombre en été; ainsi, Philo- | invention. TR ECTS. MR. 4, — Qui, Madémoiselle.…. sn Pour le conserver déux jours, ii sut | Lundi 8 -- ‘mmaculéé Concapttft 
gros bourgeons rouges et: pois- Le nm oi «7 ho Diacs HE Vous voulez dire, Mademoiselle, gran .  Æt.je voyais eur de visäge de l'enfant lé ge je bn h terrine ver. | Mardi:5 — Ste Léocadie.-« 2 
seux, puis il leur poussa une chaque jour, ou Se le mont de |P9#rrait me prendre Pour ungséntense, Ben! réflet des pensées qui s'agitaient dans sa petite |" \ doucément, de telle sort “AMrererodi 19 — 8. Melclilade. 


-\. multitude de minuseules para-| Calvaire, ou ès plaies de Notre- | faudrait pas être malin pour croire que mes: fôhe. ae ns “rares Lee nr bel RE ER + — à 
che à gt ee em à - mr er à " : Es re ex PE à sont ag de me Je a Ame dokt être aujourd'hui . une grande appellé “éécanter"; cette terrine de | Aer 3 
ie col donnèrent de sl es a que Lors Levi menteüse si elles pouvaient fromper les gens, fille. Je l'ai _perdue de vue, mais je | "re demeurer exposée à üin courant || AE 3 
‘ombre, comme. leurs grands | 4 MIRE. et là, s'alléger ef mais ce serait trop bête de ne, pas voir que.c'esl pense sonvent, ÿ cette originale fillette dont te oo. _ _. le Ar Une-magnifique 00 ur: 
“ es . “« '} LL] - LL: pr F + 4 8, a L “ . ? u 
frères, etlun d'eux s'avisa mé-|rceréer entre les affaires exté| PO" vire!” Tenez, je vais vous expliquer ai si clair, si juste, ai précoce. ae poutollion. et 1e relate au vaine [ PV0C. Diamond Dy 
me de fleurir. Alors, je courus | féures, ét pour y être comme | °#ment ont est menteuse. liane (c'était ya fes 4 ré: me é 


PRET 


| chercher un beau ruban que je dans tm port, afin de se défen-|petite soeur) est une menteuse, üne viluine -. UNE.INSTITUTRICE. 8 PRIT Te Pc = 
ui y mp ts Lot À la taille | dre des tentations. Bienheu- PRESS AE RAAPER RSS Em : Late-Bes Pia on Us cn memes | - Ul faut soutenir les bons 
i Me les au- [7205 l'âme qui pourra dire en 7 pe tait M 1: , ü la veille de se marier, doivent pos | ournaux . 
\ L # see 7e | Er les au- | vérité à Notre-Seigneur : “Vous | Il est intéressant par lui-mênte. 1 MEUBLES N° v : ne et Ga dobsbt d'obraities | — journa Ve 


sle £ êtes ma maison-de refuge, mon |1l est une partie de notre -fok- 

, . En. juillet, il laissa tomber | rempart assuré, mon toit con- tune, et puis, au’ demaine, on 
! lui. la pelouse six gros MAFFORS Ftre la pluie-et mon ombre con-|len saura gré. Le 35 

uisants el: Bruns. Je voulus |tre Ja chaleur.” - |: Des bêtes, N est tout simple 

pas le_plus ‘beau. ‘| J'ai totijours su par coeur ces D ou og gens, gens de 

e l'af éncore. Tu Je trouve-| charmantes lignes de saint |che#nons, gens du village, gens 

Mprés de mon premier Gvenc|nrapgois, et Je les redieis en) Te domi Léteiccten comes de 

: * ; N- | pénétrant sur cet îlot où j'étais, | Je me su CN 1 : j du sälon ont. des res: | k 

#: j d'un petit oiseau empail- Fm femme, mieux FAA pâr- A amais ne rrakgr cine: Fra fois, un er » 


é.je ne pourrais 
rues ire. out ailleurs, la maitresse dé d'eux. + | 7 an robe D nogasisesnet Le 617 TO MN ET dt 
s'excusent en.ces fermes:  . | Les canonisations ; pro 
Crau AS 


" Le vétéran du journalisme éatholl- 
due en Belgique, M. Léon Mallié, @û ane 
veloppait réceminent un rapport sur 1 L tratches. ‘et 

la presse au Corigrès de l'Union ca PIN om, fa bou 

tiolique Belge. M, Mailié rappelait , 
que pour posséder de-bons-journalts 
“tes. -ét par suite pour avoir de bons Co s 

foürhaux, il fat les payer. ÆtAl pré |* ut” 


è à ; 1 ;à coudre, vingt cartoudhes et, trois 
On devrait cnselgner aux enfants à! taureaux, le tout -pour indemniser la 

soigner les meubles, -Dans certaines | {4e pellemère de le perte de sa 

maisons, fort bien tènues par ailleurs, | jp mo Stats | 

en remarque que des chaises de | 1e curistianisme donne 1à/#iétlletre 

suile à -manger sont usées, écorchées, | si Donge, PR re 0 

déeulorées, à force de frottements; La femme vaut l'homme et, quelque 


tait bféer les journaux à payée [pe g.! er 5 
ébnveñablemént les fournalistes, Trop | da 14) drapotr tit; 
de journalistes sont encore obligés @e ft" Achetez" . 
travailler pour des saldirés de/farine, | autre: — et ditesà votre 1 
Nine faudait pas généraliser, mais les sel FAN 1 veÀ AN ne Lo 
cas restènt trop nombreux." ‘du coton où uh sn Mug 


ÿ TU x 5 quema pensée. e » : D 
j'ai plantés, tu les connais; c@| . Mais il n'y avait pas que les | voulurent bién m'affimer qu’el- ie CRE ALLAN - de 2e qu 
Jeur défendre de toucher à" tout, 


n L. énormes seigneurs qui | arbres sauvages et Ja riviere |les ne sauraient passé passer |. Le | 
décofent In pélouse, aù midiltoujours prête à s'enfuir dede mai. Ce fut'un déchirement |, ponvros petits! Il faut bien-qu'iis| Les six anotisations. iñorslement 
du château, y a longtemps! chez nous, il y avait notre vieil-| de part et d'autre. Mais j'ak | ent un peu. C'est de.leur âge. [assurées pour l'Année Saiité, veéi qui 
que je ne m'inquiète plus dc|je mare immobile et discrète, | lais à un devoif naturel et TON! je .cônnais des enfants qui remuent | contribueront à donner Aux) fétés Ju 

ine pardonna; j'allais vers Ta-| coup. C'est de leur-âge, en.eftot! | bildires un éclat incompräble, feront 


leurs nuits, mais je les admire |jes bons arbres à fruits et les 
mour et je ne souffris-pas au: | ment ils savent qu'il est défendu |l'oblet de quatre grandes eëtémonies 


toujours lorsqu'ils sont en |flours. | 
fleurs et j'aïñme à m'asscoir à tant'quc je le redoutais.. Quand 


LUE 


Que de choses à. soigner, à 


: büsilique Saint: agents 

UaNT las prendre leurs ébats- sur les bergè-|Pontificales dans la «ce j d :: ; he 

leur ombre... aimer! je revins, après mon court exil, | qu sajon, De même; ils ne s'a | Piètre. x ÿ Eczema sur mon Visage , . ,. 
Je suis sûre qu'eux-ron plus!" 11 y avait aussi les bêtes. Je [Je n'avais qu'à raccrocher mon À ent pas à gratter avec leurs sou-| 12 bieuheureux curé d'Ars ët le k 0 lètemenit guéri ” 

, ne m'ont pas oubliée ct qu'ils| fai déja parlé, je crois, des | anhéau à toutés ces chaînes que |}. je: vernis des chaises.  [biénheureux Jean Budes seraiènt ça- compieétement gl der: 


me regardent vieillir dvec €lon- |écureuils et.des petits musiciens ! j'avais quittées à ét. “Côn-, à 
nement, peut-être avec émoi...| qu, grand concert des arbres.| ment në seriez-votis pas heu- 
#5 Quant gui patriarche du k tal ai suü très tôt les distiiguer reusé chez vous?” m'avait dit 
tre, je Je Visite comme un pa: |rjen qu'à leur chant ou à leur [mon mari me ramenant parmi 
/ rent Lt comme un bon!façon de voler. : À leur plumas|ces amis de toujours. à 
conseiller. ; ge aussi, bien entendu. Je suis | : Il ne croyait pas si bien dire, 
Je te cite un chêne et quatre | fous leurs noms. Je t'en ai de. | Après mes dernières seniaines 
"+ “inNärronniers, inuis jé ne finirois jà appris quelques-uns. Conti: | d’anxiété à Tours, je fus un pey 
pas si j'entreprenais l'éloge de! nue de t'informer. On ne peut comme le chardonneret qu'on 
lous les arbres que je connais, pas rester indifférent devant |avaît mis en cage ct qui retrou- 
pour qui j'äi de la sympathie ct\tunt de grâce. Aime-les. Pen-|ve la liberté. 
| même de l'affection... 2ise à eux quand il fait froid. Ne | ; x 
Je voulus un soir raconter à lisse pas les tvhats rôder au+ x (A suivre) 

mon mari mon amour pour Ms | {four des nids. Mets des grelots | === 

arbres. Je vis tout de suite que | aux pattes: des vilains matous : 

L'alphabet amusant 


L'interdiction d'abîmer le mobiiier|nobisés le même jour. 
te les -attriste pas. . Au <ontraîire! Les canouisations de la biénheureu- 
Us s'intéressent aux objets qui les en-|#e Postel &t de ‘ln ‘bienheureusè Mère 
tourent, sachant leur provenance, leur Barat seraient pareillemént associées. 
histoire, et que, plus tard,,s'ils les en-| Quant à la bienheureusé Thérèse dé 
tretiennent bien, ils en auront la jouis- | l'Enfant Jésus et au bienhéureux ‘Pier: 
saïice à leur tour. . [re Canistus, Jésÿite hollandais, mort 
Hs.se disent l'un à l'autre: en 1567, le Souverain Pôutife leur f6- 
_— Fais. attention! ‘Tu: vas cogner servérait une rérémonte dfstinéte en 
lé büffet!. Tu sais bien qu'il-vient de | deux jours différents. 
bon-papa et que maman tient beau- On remarquera que cinq des futurs 
coupt CR us canonisés appartiennent à 14 france 
Les meubles deviennent pour eux |'écémiment appelée par Pie XI la 


des choses de valeur, et ils les resper- | “mére des saints k 
©. de Rae) 


Mme Winnifréd Ernest, Boite 46, Blockhouse, f-8;, «écrits 


“Deputs mon enfance, J'ai toujours sotffert . do ? 
‘mon Visage. Parfois, mon visage était rit cou. 
ne Feu vert de lärges plaies: d'es- 

sayais les remèdes dont 
j'ententlals parlèr mais F4 
‘aduéun résultat. “Ceèl dura 
vingt äfs, jusqu'a € qu'a. 4 
jour 6 demagndai conseil à 
won pharmacien qui, me.4it.. 
pm He Lie du 

’hasë,. rés avoir eïw 1 

cet onguent penAdañt Pt pi 
& ET jours, les plèles commentés 
_.! Vrent à se éfbatriser, et , 

i 1 tôt je fus complètement eu... 


rie.” 


ce n’était pour lui qu'“histoire chasseurs : tue Le 5 Én $ | : 3 j * EC AN A CRE S 
* ps. 2L. s pseudonymes célèbres , “% pré 
de poupées”; alors je me !us.| Ce n'est pas au moins que je | (mg PER ONGUENT DU DR CHASE LES 
Lucien ne pouvait comprendre !géteste-les chats. J'en ai @tf[ On a aujourd'hui, pour apprendre pere 


T'ôut le monde sait qu'Anatolé Fran: 
É était le pseudonyme d'Ænatoie- 
e “ ; ka (François! Thibault, et peu de person 
mon lit quand j'étais souffrun- | toucher leur imagination en assimfinñt | ‘Dernièrement, la “Croix du Nord” lies ignorent que Roné Boylesve st 
l tu ot me tenaient compagnie. lies Jettres de l'alphabet à des person .| insérait une note demandant Si Quel | Gus de René-Marie-Auguste  Tardi- 
le de 1 plus gracieux et le Quant à mes chiens, je n'en- nages qui se translormeraient. ” fan'er voulait se charger de recueillir véau, confrère à l'Académie de l'écrt- 
plus noble.” Bucien resta tou- treprendrai pas leur éloge, car! .— Vous royez celui-là qui cs: rond | un petit orphelin de deux ans e: ilemi vain: dut vint de mourir. -*- 
jours un: etranger pour es |s;j je me mettais à te-raconter | comme dâe pomme, leur dit-on, h se | pour l'élevèr en bon éhrétien. Tandis François Cépée s'appélait Freucis | 
chers arbres et cela me fut très | toutes les-histoires des Tom et Inomine 0. Eh bien! quand on lui en- | que les “offres d'emplol” contre foris| Goÿpaé, et Jules Simon, Simon Tales 
pénible, A lon tour, ne.traite|des Pyrame successifs qui ha: liève un morceau de son ventre, 11 4e gages publiées dans les journtux ob - , 


Les braves gens 


60 sous la boîte chez tous les marchands ou Edmanéon Bates & Ce! 


MR, 


TT M ‘4 » i ires » « fe . , . 
qu'il y a des histoires de p - d'excellents qui. me suivaient [leurs lettres aux jeunes enfants, des 
pées qui grandisent avec nous, ! dans mon ile, qui venaient sur | méthodes charmantes. On essuye de. 
prennent de l'âge et dé la gra- 
vité et font à nos derniers jours 


pas d’enfantillage ce/sentiment. |bitérent le château, j'oublierais pomme C, et quand où lui mét un petit | tisdnent,si peu d'échos, sait-on combien 
+ “Entre les pelouses et entre lès] trop que ce n’est pas äe mes [marchepied.au milieu, ji xe nanime G, | de Féponses .a régües, Ja pértonne qui 
urbres, il ya la rivière. {joies que j'ai à Centretenir,} Et une petite Ale, hier. à qui ôm | a fait paraitre côt avis’. 
…, Comment ne pas l'aimer? Ce |mais-des ombres de ma vie. | [demandait quelle était la lettre qu'on |. Quatrewingtcinq! Et non seulement 
n'est pas qu elle ait grossi, cle, |, J'ai toujours été au -courant |iui désignait, répondit: | par lettres, mais par télégraimmes at 
’ Malgré Tapparence, elle cst|de. l'arrivée en ce monde, des! — C'est un U. Je le reconnais pur-| bar. visitest. Quatre-viligt<ing. per- 
toujours la même. Je dis “roal- | maladies et de la-mort des bé-Îce que ce sont deux “1” qüise sont | Éonnes £e disputgnt commé une ré 

gré l'apparence”, parce que, |tes de la ferme: poulains fani- | rapprochés ét qui ont enlevé leur cha. |‘compeñse cètte Donne ation 


Luis pseudonÿmes sont deverus 
plus rarés qu'autrefois, et celui de Vol 
taire, qui eèchaît-d’Arôuet, n'était cer- 
tes polut une:exéeptiôn. : 

On-étonnerait bien des gens en leur 
parlaut des coméflies de Carlet, in 
n'était autre que Marivaux, ou de cel- 


’étai i tés dé Cartép, qui était Dancourt 
lorsque j'élais pelile, elle me |liers, chevaux rétifs, plaintifs | peau. . * | Et la grande majorité de ces Des! Qui se doùte aujourd'hut que Voinéy | ? 
semblait fort large et terrible-|ggnèuux, veaux üu-Rez rose,| Autrefois, l'alphabet n'était pas «i|vleüt de gens peu fortunés: ouvriers, appélait-de son vrai fiom Chhsse- 
meut profonde. A mesure que ns oublier ces modestes eoin- | réjoutssant. + petits commerçants, ertmiers. Bean-l eur: Delille, Jatques Fontatiert-Or8, 
je graudis, elle rapelissa. L é- phgnons de saint Antoine. qu = 2e — coup même sont déjà Charges de fa-lijjjon, Joiyot: Voisehon, fusée: La 
pouvantail qu'elle était jadis se ‘barquent à la ferme à la Mount i Li mille, . ot Chaussée, Nivelle: Sdinte-Pols, Pou- 
Û transforma peu à peu en uue douzaine et dans un concért + ping: à cneveux | Ces beaux exievples de éénérusité tuti ?. : "“ 

distraction. qui ne manque pas de pittores- donnés par les familles chréliénnes du te -16th0-pip- de , 
—— Quand il me: fut permis de |que.. Le-roi des épingles à chévess, -3L | Xord sont tout à-lbur houteurt Bi l'on dit dé alé toi et au'fft 

we promener seule dans le!  Occupe-toi de ce monde-là.{Sslomon Goldberg, vient de s'embar, MenRe. ee. EN SEE soit véritable, corrige:tôl: ‘81 4 - 
-pare, je partis à la découverte, À “ 


quer pour l'Europe, M «a déciaré-aue ; 4 4 ( 
avec, à la main, une canne à | | 14 mode des cheveu coupés lui avait] Ce que vaut une femme 
bout ferré, , Une haïle de mérite—L'Hui: | porté un coup sérieux Ka 1414, il y CR * 
C'était au printemps.  Les]le Eclectrique du Dr Thomas|stat,.aus Ætéts:Unis, 36 millions de] . Un savent, s'eét livré récemment à. 
bois avaient étalé leur tapis|n'est pas un mélange de sub» {feñmes qui se servaient d'épingles à] up piquante statistique: ji a vou 
d'anémones et les crocus vio-|stances médicinales placées en-{cheveux: iles en pérdaient environ |enxroir à: combien-étalt évaluée , urie 


des mensohges, ris-en. — Mplotété.. : 
CS TE sp 0 

. Les difficultés que nons- tronrons 

aux choses ne. sont de plus soifvent 

les défaillances. de notre. voloaif 

et l'avéu dela médiocrité de nos dé- 

sirs. — Fadette. | ER 


Jets, ouvraient leurs yeux sur-|semble et poussé bar la récla-|65 millions, par jour. Jexnme par les divers peuples de l'uni 
pris au inilieu du gazon. Il y |me, mais le résultat de recber-} M. GoMberg a ajouté; vers. Son enquête, bieu-qu'incomplè 
avait de la pervenche, Les!ches soignées sur les qualitésf  — Depuis que le mode esr çvearp | te, lui,a de éarieux résultats. 
pruniers sauvages avaient déjà [cicatrisantes de certaines hüi-|de se couper les epeveux, j'ai inventé | : Ainsi, unè-fancée tartare coûte dix 
mis leur robe blanche et rose, |les nppl s-at © hu-}des épingies, très petites, pour les vhe-| kilos de beurre;,les Caîres son; plus 
et dans les prés qui bordent main. C'est une cénblnaie 

# eau le renoacule naine. qu'on |rare, elle a gagné dès le &Abut | de pésultat sérieux. A présent jé ait | <e anarier doit ifrer à-s4 fiancée pit 


: norame grenouillette, étalait salla faveur du public et elle la [mets eù campagne contre les cheveux | vachas. ; Déls.lè Kurdistan, {1, faut 
note d'or. garde. Un essai comvainera |veurts. li s'agiide convaincre la tom- D pr dr a 
J'étais méthodique. je pris |quiéonque doute de sa/puissan- | me que ses cheveux sont sa plus belle ; et sus Iles, une dont de 
a -fivière du Côté de sa source ce à réparer et à cicatriser,  |parare, __.,.. [haleimé. Les indigènes de Ouganda, 
dé ‘2 ‘ LENS 4 * 
4 . , % 


* 
> 


. Atraban regnrdi |caise? : N'est-ce pas pour cela qu'ils 
PTS tous les autres/{ont, créé un visiteur des 


à 


L de T'astre qui N'est-ce pas 1K in ls Ë 
7 moñtagnes 4e | Anctible de notre Chef, qui l'a : 

jenf . roi. De m?-|hautewemt: “Si nous voulons 
vas, Canadiens ?ran 


H 
5 


dj c 


# non», sf nou-'|‘rancais 4ans nos écoles, c'est à nons 
; vs tarder notre "apériorité Intel’ | d'en retire”. , Este assez clair! 
' Mébielle "Tel au Catalina, et Ahn: | Est cb assez expliate? wour 

ÿ cat, c'ent vers le passé qu'il faut Mais, malgré tce:2, pourquoi faut-ii 
Mis tourner pour avoir la vraie {u-} donc ehcore constater ls tendance 


A ESS J mprauée de certains Canadiens fran- 
, tgn effet, ni la race canadionne-fra. | cale à tvjours dénigrer et À mésestt 
… Mie est si fière aujourd'hui de 4 |mér toui ce ant vienf.de.shez s 
magver en Ce ccin d'Amérique avec. | Pourquol fantil voir trop sonveus RE 

t d'indépendance et' de UMbert£ | core cette ‘admiration niaise pour tout 

SU : sa 101 ardenjé Ges premiers lonta [cé auf est anglais? Pourquoi, cafin, 


Tantiere Intéhse, c'est À son attachement 
fanlable À #es traditions ences 


be aqu'eîte te drift. Et i'imphrte d 
r ici Géo cette survivenre-ne per: 
Ed regardée comme J'eet dun heu 
: hasard on d'uxe 1#£raifA angi 
onne; elle n'ests autre chons 
de la volonté .blen Ætrilés du 
+ MPidlentronieis db Ayrer/ co vi 
ù bc s'imposer. au resr@t de ve: 


F0 


ournef en ridicule nos usages et n24 
nstliutions les plus sacrées? Qui 
donc nous délirre;s de ce néfaste en 


sotment pour 15 


délitrera «du tamtam 


Qui donc nqus 


atiïle d'où qu'elle vi 


£ 
À / 
ntäire de 


t de tant d'erreurs, pu 


le plus vol: vébicue du protes 


C'eat 


: nomèénes historiques | cé. L'arma libératrice ne nous fera 
, r, il n'y a pas dre % dis: imu' i ) défaut, 51 nous Àvon; lé bon ser 
RUcisation complète fut 18 but mu lle ta recont t uragé d 
ste. à pfesque tous. le je: ur lon servir t tion f 
PAL voulut. b gr 11 | ï £ 1 l'une” forte I 
Ban irc Angl'ete ju! | 1ro 
Te du siècle dernser,, A6 r à } ef ÿ l'ar iranc tp 
DIUS vite-ces quelque lle de À ra si droit H e et 
re } eu 2 p 1e, il la duo cuve t parle est si 


riaire, si le bon sens 
inant de son e:prit, 


fadiens fr grand tor est à «à 
Prat ar: Fi doit, à cette forte éducation qu'elle 
: tic ve 5 \ pri un sf a res : ortgine. nu 
: - dbrorts vari tepé cés £onver c'es{ dans cé but bien avoué, le 
De KEŸr angl ais durer con et unefsealut de la rare, que je voudrais vous 
choc c' cas rudes colons restaient parler ce sol; de la “culture clas:i- 
Munotiques et Tiincais qu'aux pre [YueT ‘Après avoir fait bonne ‘ustice 
#mirs jours. 1] faut abandonrer tout cert préjrcés, je vous dirai: | 
J Éfüeir d'nrélicisatiof Ï probli {a)-la ire, 4b) les blenfaits, et (c) | 


tats de cette méthode si un! 
t efficace. td 


\ ' . : 
. agile n Ltarït érmné 
ue C4 na 


tire 


(9) À es 1 ‘ d- 
élilation, voyons d'abord le: “principaux pré- 
RSS déux £iéments anglals et franents, | juxés". ; 
.déms ln juix ct l'harmonie n'resenires Beaucoup de gens, de nos jours, sont 
 ÊT prospérité an pays 5 | peu sympathiques à la culture classi- 
. ee, fut VA le hnt et l'eanrit dun pacte 


son parler etavec sa vie fem! Jvettalnds des, nôtres vont-ils ‘jusqu'à 
/ ne æ 
-Ce qui est étranger! |. 
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QE 
3 


Instruction générale, antérieure aux 


: | Studes profes-ionhelles, ‘est un prin 


ripe de force et un gage de supériorit*. 


On le comprend sans peine: plus l'es. 


prit s'est exercé les’ travaux qui 
cnt pour but d'accroître ses énergies 
ét d'étendre son rayon d'action, plu: 
sussi, et pour cela même, il possède 


.. lé'aptitude à exploiter les différents do 


maires de l’activité économique et s»- 
ciale. Et ainsi, il se trouve que l'ob- 
jection de la longueur des études se 


ulture classique” qu'elle change en un réel avantage. Puisque 


l'instruction aufourdhui a transformé 
les conditions de la vie humaine, son 
influence a envahi toutes les branches 
de la socisté, Elle décide de toutes 
les destinées. Elle -dispose de la for- 
tüñe, dé la réputation et. du crédit 
parmi les hommes. - : 
Enfin, un derniè? grief que l'on for- 


| mule est celui-<i: c'est’qu'au firma 


ment des études classiques les étoiles 
sont rares. Et l’on ajoute, ce qui est 
plus grave, que beaucoup, après avoir 
jeté un resplendissant éclat, se sont 
étéintes misérablement (j'entends les 
étoiles'). Et l'on tient les études tlas- 


+ |éans cette nbnégation de toutes les 


re ire 


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9. 

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il 
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Hell 


heures qui Compose la vié d'un instits- 
teur chrétien, vous comprenez que 
‘tant d'efforts fe leur côté n'ont pas 


‘ Que penseriez-vous, d'un élève, au 
collège, qui dirait: on m'instruit, donc 
je n'ai pas besoin d'apprendre; on me 
surveille, donc je ne suis tenu à bien 
faire que dans la mesure où je suis 
trôlé; on m'’exerce À l'obéissance, 


pas besoin de m'y exercer moi-même, 
Ce serait absurde, n'estce pas? * 

Que penseriez-vous d'un étudiant, à 
l'université, qui n'apercevrait plus A+ 
vant lui que fêtes et amusements «et 
ne comprendrait plus Factivité que 
sous la forme du plaisir? Ce serait 
déraisonnable, n'estce pas? 

Pour ma part, je plaindrais les maf- 
tres qui auraient pour élève un pareil 
jeune homme, car il auraît rendu leur 
tâche ingrate et stérile; je plaindrais 
{ses parents, car il aurait déjoué leur 
| prévoyance; je plaindrais bien plus en- 


condamné d'avance à n'être: toujogi£ 
qu'une moitié d'homme, un être, 
daire et manqué. Mais je çn'oserais 
jamais at le cours classfqjüe, ni 
en vouloir, sérieusement à ses pro- 
fesseurs; car fl restera toujours éta- 
bli, en saine pédagogie, que l'éducs- 
tion n'est pas-un traileñient qu'on duit 


à la patience, à ia piété, donc je n'af 


core ce jeune étudiant car il serait, 


a 


Dans 
lique dé l’At 


Ù 


œ 


ses flots blancs sa ceinture vio- 


. d é 


uvenirs de mes Soixante Ans d’Apostolat””, le vicaire aposto- 
baska se révèle le conteur incomparable que connaissent, 

:. tous ceux qui ont eu le bonheur de l’approcher. . Aussi l’ouvrage obtient-il 
‘un grand succès, en Europe comme en Amérique. 


En vente au bur ue la ‘“Liberté’° 


619, avenue McDerot ° . . 25 


qe rer 
EN À à 


4. 


ans d’Apostolat | 


\ 


‘ 


: de jeunesse et de bonne humeur. 
. H nous dit lui e que les sau-. 
vages. l” d'un bien 
grand nom qui signifiait “l’'hom- 
me qui prie et qui a un menton 
abondamment poilu.”  Quand'il 
parle, en effet, sa barbe bat de 
lette. Sa manière de conter est 
inimitpble, bien que sa dignité 
reste entière. 
Gabriel-Louis Jarray, . 
. (France-Canada) 


ï 2 


{ 


’ ee 


Prix: $1.40 franco op, = 


Winnipeg, Manitoba 


que. Il y a de cette défaveur plusieurs | “iaues responsables de toutes ces 
motifs. Mais le premier qu'ils s'en gâchées, en-apportant pour raison que 


fédirat do 1967 La constitution laits pa 
vont répétant sur tous les tons, est | "est l'éducation qui fait les 


Lune larre anfonomie aux provinces 


subir, mais une oeuvre commune où 
l'activité de l'élèse doit conspirer aver 


rfes: en particulier, les questions 
fôatives À l'éducation sont de lenr 
emaire exclusif, _ l'opposition 
Yinise notifiaerme. 


faelle de faire Infprirâter le texte ni à construire une machine, ni. 


Rppstlfutionnel À en pute En tont 
cas. ce,ne fut pas la paix romplète rt 
dénitive, .relle ane Y°7 Canadien: 


, francçcals avnlent drolt d'espérer. 
2 
walcpendant ce qui nous na toujour 
BA V8 à travore ( LE HIETH ET E) 


leomr'exit{ de ln vie ranadionne rest 


. "I! Ints@iait | ne peut aider ni:h tenir les comptes, . : 
es à _permettrai d'apporter une distinction 2 


celui-ci: ‘ 
C'est inutile d'apprendre du grec et 


mes”. 
Eh bien, non, mesdames et Mmes- 


du latin. Dans la vie pratique, cela | Sieurs, les études classiques ne son: 


pâs aussi. que cela, et je me 


aire aller un commerce, cela ne ser: | °°t aphôrisme qui dit que “l'éducation 


de rien absolument. 
thode surannée, un héritage du temp- 


C'est une mé- fait les hommes”. 


Si cette propos! 
tion était rigoureusement vraie, si l'on 


s-: Le: conditions de la vie mo |Pouvait faire des hommes comme on 


exixent une tout autre‘ prépa 
ralicu ° ; 


fabrique des machines, il suffirait d'a 
voir de bons matériaux, c'est-à-dire 


"nccdc, Lieu volontiers, que le des natures saines et un bon plan de 


6 sur! tue l'on a toujours apporté à archand vu | iudusirie, ait pas soû- | Construction, c'est-à-dire une bonne 


dpegner on À faire donner aux enfants, vout ioccusiüuu de parier latin avec 


LEE 4 Lg, torce nine Îci'au Menitoba ét 
dan: | rio, une cuifture €ùu rapgo!t 
dVEc leur crigine e: leu at 

= dre: él eité6l, 5 KQut Gariz. "#t 
_*'gnie de Québes, pe s'est pas crue 21 
tonisce rañ'eor à pu 
c AuSs, S33 y de. ufye:« srr 
7 et s pr 
démocrs dpe à ! 
atre: vu j 42 
plier aux exigences 
{ hait vit - i . 
\ RQ Go 
MS ia la F 
ë diceuvie 1 xiéret 
À‘ EÆEtues-u cén 
DA. Si ation est de ÿ 
re ru 
von: Tax 4 
por «Ter. 
Sen = se “qui 
Déspors pa Ù 
EE. 1 & lil i 
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jes autæ SE £ 
di ET: ta piapar 
x .pehsants aimette: 
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tas “Wen. ç0r. quel 
É Buyirre pOur Ro 
F où : & 
plat@uir et 
: > NE ésulà 
{ : dar: 20 s ut 
Vs © : vu: 
.” fic « ! 
nd è: où 4 
\ 
4 7 : trâänale pr Cafe C'est 
CO | 4 seule expression qui tradui- 
us Se ceéqu: l'on éprouve avec ait 
h aie de" maadi Le 
\ atlädement obtenu nar le re- 
\ Palel l'asthme du-Dr J-D. 
à leg est impossible à quuli 
À État le bien-être et le re- 
, la souffrance indici- 
À He. respiration devient 
\ e‘et les tubes des bron- 
| se nettoient comp'ètement. 
. ER con prix pour tous 
+- qui l'emploient. 


i 


ui3 
micycu habituel de fâire Yenir. ae 
Mais n'empèche, ce 
nt; que ceux Qui eN CNT aphri: 

l' ueëi les ‘autres e: 
: veui pas dire vi 
Qué là Cuilure ciüss:que süy 


Hi au it, 


seut inieux que 
ela re 
jernment 


e àt; qu imbécile, à fur 


+ + ifrer s etuQ 
luiseirt au 6 t pu | 
in à 26 du 
fl qu ici 
{ i 16E ln 
à Ré } 
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} #ud né | 
| & | 
0 t uso ‘+ 
f r ve.cppe 
turit inte'ectueile 
"Ou cuuptle 18 
!t versité de Syr# 
LA [ 44 COL- 
pm aude de louut ce 
ai casce torie, entti- 
cuuselilerais furte- 
iude patiente et iufatigabie : 
Li et du latin”. 
£u£a, voulez-vous connaître le sen- 


.d 


227 | tlment d'un industrie] sur la question? 


C'est le roi de l'acier, en personne, 


qui parie, Carnegie l'avouait en 1896. 
en s'adressant aux élèves d& l'Univer- 
lié de Cornell: “En supposant, disait- 
il, des aptitudes égales de part et 
Jj'autre, le gradué de collège l'empor- 
téra toujours sur celui qui n'a point 
fait d'études, parce qu'en définitive 
c'est l'instruction qui Éompt:". Et 
dans son livre sur “L'einpire des af- 
faires”, il écrivait en toutes lettres: 
“Le diplômé d'université possède des 
idées plus-larges que celui qui a été 
privé d'éducation universitaire, Il dé- 
passera infailliblement celu} qui, une 


L 


méthode d'éducation, pour faire à vo- 


Ce L'est pas, pour eux, lonté des hommes distingués et ver 


tueux. Or chacun sait qu'il n'en es: 
rien et que les meilleurs instituteurs 
êe-la-jeunesse sont lôin de travail 
À'Coup sûr à la confection des petits 
chef#d'ceuvres qi. cencernent leur 
état, 

D'ou're part. sf cette proposition 
tait rent fausse, si l'éducation 
dans la valeur future 
ia reçoivent, ce serait une 
£ T Uunertie e u con 
sons ic', à la forma 
K.:t morale des jeune 
pourrit-cn expiiquer te 


arrer 


it 


#4 er: 


celle ‘du maître, où l'un ne doit. pas 


pour donner, où l'esprit, où le coeur, 
où l'âme tout entière doivent travailler 
à leur culture avèc ceux qui les culti- 
vent, pour partager avec eux le mérite 
de l'effort et la joie de la récompense 
Et ainsi, libres de tous èes préjugés 
qui auraient pu comme un nuage obes- 
curcir votre intelligence, je vous dirai 
Paintenant ce que c'est que les études 
classiques. ,* : 
: Lit 
, Et d'abord, quelle est leur nature? 
C'est un enseignement de culture 

générale, qui a pour base l'étude des 
langues et des littérature anciennes 
et dont Jes lettres sont ie principe 

tif de formation : ÿ ; 

1—C'est, avant tout, un enseigne 

| ment de culture générale. Ce mot doit 
s'entendre en un double sens, 

Cette culture est général d'abord 
parce qu'elle donne à l'esprit des clar- 
tés sur tout. Ainsi le jeune homme 
qui s'est décidé à embrasser la car- 


moins faire pour recevoir que l'autre 


= = « rs : | Q l D RP RC 3 


rir les bonnes, les fortes, les durables 
qualités ou habitudes intellectuelles 
qui la rendront fondamentalement apte 
à toutes les fonctions d'ordre : supé- 
rieur. 11 s'agit de remuer assez pro- 
fondément cette, riche et précieuse 
terre de l'esprit afin qu'elle rende en 
son temps trente, soixante et cent pour 
un, c'est-à-dire le maximum de son 
rendement. Il ne s'agit pas de culture 
encyclopédique, ne donnant le plus sou- 
vent au jeune homme qu'une supéri2- 
rité de surface, un faux brillant, un 
vernis illusoire de science ou d'érudi- 
tion. ‘Il s'agit de culture éducative: 
dans toute la force du mot latin, auc- 
mentant la valeur intrinsèque, la qua 
lité foncière de. l'esprit de l'homme 
tout entier. Voilà la fonction propre, 
le rôle esentiel du cours classique: 
procurer à l'élève la formation géné- 
rale qui met en valeur son intelligence 
et les autres facultés de son âme rai- 
sonnable. 


‘2.—Cet enseignement ensuite met à 


rière deg sciences s'y trouvera prépa: |; base l'étude des langues anciennes 


ré. L'ingénieur profitera de ses ma- 
thématiques. Le futur historien con- 


! 


raison en est bien simplé, c'est qu'il 
y a harmonie et parenté entre le génie 


:ran! «{mbat entre les maîtres chré-|naîtra déjà une partie. de l'histoire. | 4. anciens et le nôtre. Au point de 


‘us 9t les éducateurs sans Dieu? 
Lrqu0! du côté de ceux-ci tant d'a- 


mpzrer de la jeunes-; 


de ceux là tant 
1 defendre au prix des 
ris sacriïres et des plus gé 
uemezts? Dans le cas où 
ioctrine. serait fausse, 1l vau- 
rieur, ce semble, laisser aller 
ICA1K 1U hasard. 
alors ce au'il pourra. | 
M l r er va pas ainsi La vérité, 
bp circonstance, se trouve entré 
es" de1x. extrêmes Ni l'éducation 
nest indifférente, ni elle n’est souve 
raine pour l'orientation définitive des 
nes existences qui subissent son ac- 
Con A cette sentence inexacte: l'é- 
:1°2"l1on fait les hommes, il faut subs- 
ner dette autre formule: “l'éduca- 
"51. rormmence les hommes et les pré- 
“re à s'achever eux mêmes”. Alors 
2 comprends. s 
Que l'éducation soit l'affaire de ceux 
qui s'y consacrent, ce n'est pas moi 
“qui le conteéterai; mais qu'elle ne soi: 
pas aussi ét surtout celle de chaque 
étudiant, c'est le préjugé, mesdames 
ft messieurs, que je: voudrais arracher 
de. vès esprits. Que les efforts des 
maîtres doivent tendre À révéler le 
devoir, À le montrer impérieux, à la 
peindre aimable, À faire voir le mal- 
beur de Ia viplation-de la loi, À écarte: 
de la route les obstacles, à mettre à 
la portée de tous, les exemples, les enu- 
Couragemients, les facilités qui provo- 
quent au bien et en adoùcissent' la 
pratique; tout cela, c'est léducatidà 
en tant qu'elle dépend.-d'autrai,-"# 
ce u'ést'pas l'éducation tout” entière. 
1! reste que ce bien aperçu, recominan- 


lv 


La “ 


Il en sortira. 


Le prêtre aura ‘reçu la base de sa for- 
mation. L'avocat, l'écrivain, le jour- 
| naliste seront déjà initiés à leur pro- 
fession par l'étude de la littérature. 
Et si le jeune étudiant ne veut se spé- 
cialiser en aucune branche, il aura 
néanmoins des connaissances sur tout, 
il sera outillé pour la vie. 

Cette culture est générale encore par- 
ce que les connaissances qu'elle embras- 
se sont celles qui doivent être commu- 
nes à tous. En effet, au cours classique, 
les sciences, les mathématiques, l'his- 
toire, la religion, la littérature y sont 
enseignées, Toutes les classes de lz 
société peuvent en profiter, chacun 
peut y recevoir une culture qui l’aide- 
ra dans toutes les situations de la vice 
Tel est üonc l'objet du cours classi 
que: c'est la culture générale de l'es- 
prit humain. Son but est de mettre 
en valeur l'âme humains et toutes ses 
facultés, c'est de développer ses res- 
sources intimes et de lui faire acqué- 


Médecine toute préte — Vous 
wavez pas besoin de médecin 
pour les maladies ordinaires 
quand vous avez sous la main 
une bouteille de l'Huile'Eclec- 
trique du Dr Thomas. Pour la 
toux, le rhume, le mal de gor- 
ge, là bronchite, elle est trés 
gite rit pour les écorchures, 
les brûlures, les’ foulures, les 


douleurs, elle est sans égale; 


pour les coupures, les blessu- 
res, elle est chstrisante par ex- 
«n’a pas besoin 


vue intellectuel et esthétique, nous 
sommes de leur race. Le Canadien 
français est issu de race latine; sur 
son âme ardente et fière rayonne le 
génie latin. Sans échapper à toute 
préoccupation utilitaire, 11 tend d'ins- 
tinct et de pratique vers l'idéal. La 
haute culture classique s'harmonise 
mieux que toute autre avec l'idée qu'il 
se forme de la civilisatiob et du pro- 
grès, avec l'objectif qu'il poursuit, avec 
les aspirations qu'il caresse, avec ia 
vocation de prosélytisme religieux et 
d'apostolat social dont il sent en son 
coeur brûler la flamme. En suivant 
donc.les anciens nous ne risquons pas 
de sortir de notre voie. Ils sont, nos 


| vrais maîtres. 


* C'est pourquof il est vrai, au pied 
de la lettre, que l'enfant apprend le 
français en apprenant Île latin et le 
grec, puisque la langue française eèt 
fille des langues classiques. J1 n'y-a 
méme pas d'autre moyen de l'appreu- 
dre au sens scientifique et complet Ju 
mot. C'est pourquoi aussi la connais 
sance des Jaugues classiques est chez 
nous une nécessité au point de vue de 
la conservation -de la langue nationale 
elle-même. Sans compter que le latin 
est pour hous la langue du Pape notre 
père, de l'Eglise notre mère, Ja lan. 
gue de la grâce, des sacrements et de 
la prière liturgique, la langue de ces 
phalanges glorieyses de martyrs, de 
saints, de docteurs, avec lesquels nous 
sommes en communion, dans tous les 
temps et sous tous les élimats Le 
latin, c'est la langue officielle du mon- 


patriotique dans vos enfants, n'avez 
vous pas là une occasion exceptionnel- 
ment propice de leur fournir l'un et 
l'autre de ces deux grands biens, en 
procurant à quelques-uns de vos.fils 
l'avantage inappréciable d'u 
classique? - ; 
: Le Collège de Saint-Boniface veut 
être dans le Manitoba une forteresse 
de haute éducation dont l'influence ca- 
tholique et française rayonne sur tous 
les miltéux où'il- travaille. IT régle 
dans l'intention de son patriote et gé- 
néreux donatenr un bastion de défense 
où la “race Canadienne-française doi: 
trouver armes et munitions pour :les 
luttes nécessaires. Il,assure à tous 
les jeunes gers qui viennent lui de- 


‘cours 


supériorité victorieuse qui est celle 
du cerveau. Jl assure aussi à tous 
nos jeunes compatriotes de l'Ouest ce 
culte de leur langue, ce goût du tra: 
vail intellectuel, cet attachement à 
leurs traditions de raCe, sans quoi les 
jeunes sont- inaptes à continuer l'oeu- 
vre de survivanre à laquelle se sont 
sacrifiés les anciens. Ne vous sentez- 
vous pas disposés, mesdames et mes- 
sieurs, à seconder, à ehcourager de 


sable et si éminemment patriotique? 

Enfin, dans cet enseignement, le 
principe actif de formation appartient 
aux lettres, parce que l'objet de toute 
édutation c'est de préparer le jeune 
homme à la vie, et les lettres sont lo 
miroir de la vie. C'est à elles qu'est 
confiée le soin de façonner l'esprit, 
parce que seules, elles peuvent Jui 
donner la souplesde et la variété des 
ressources, Ja finesse et la pénétra- 
tion; seules selles peuvent développer 
dans .un ensemble complet et dans un 
juste équilibre toutes ses facultés: 
l'intelligence et la volonté, comme l'I 
magiuation et la sensibilité. 

Voilà pourquoi elles sont au centre 
de l'édifice. L'histoire et les sciences 
ne leur ont été ni sacrifiées ni même 
subordonnées, mais groupées et 6r- 


++ “Se 


lité et tient compte de toutes ses éxi- 
gences; Car avant d'être un savant, 
un ingénieur, un médecin, un archites- 
te, il faut étre un homme, 

. Beaucoup mourront sans 4voir ja- 
mais eu à utiliser les notions qu'ensei- 
gnent la géométrie, l'algèbre ou la cni- 


mie; Mais tout qu long de leur vis ils 
auront'wu à dépenser ce trésor d'obser- 
ration. @ sagesse, de rêve, de poés:e 


bistinguée et la plus vaste qui fut ja- 
mais, des relations les plus. fréquen- 


qui se trouve enclos dans Ja littérature 
c'est pourquoi l'enseignement classique 
[° reçu des hommes reconuaissants Ce 


L 


tes, les plus intimes et les plus im- 
portantes. Or, mesdames et messieurs, 
vous qui avez à coeur la formation 
religieuse et 1e développement du sens 
mander une culture classique, cette|, 


toute manière une oeuvre si indispen-: 


a — ——— + 


Ÿ ; 
beau ñom “d'humanités”. J]1 a tra- 
versé tous les siècles, survécu à tou- 
tes les tourmüntes, et, les unes après 
les autres, toutes leg générations se lo 
sont transmis comme un précieux, h- 
ritage. Et rien n'est plùs beau pour, 
les humanités classiques qüé. d'avoir 
servi ainsi-& élever le niveau l'es- 
prit humain, comme rien n'est p 


lidarité qui lie leur cause avec cefls 
de la religion elle-même. Elles sont 
comme l'arbre verdoyant qui ombra- 
ge et protège la source. Sans douto 
c'est la source qui fait‘vitre l'arbre, 
mais l'arbre n'en caugera pas moins. 
quahd même son agrément, sa 
et son utilité propres. 
HT 

Et nous sommes amenés ainsi aux 
bienfaits spéciaux des huMmanités clas- 
siques: : 

Elles forment tout l'homme ou du 
moins tout ce qui dans l'homie règne 
et commande: son esprit, 8a volonté, 
son Coeur, Elles épurent aussi le goût 
et mettent dans l'Ame-Un merveilleux 
équiltbre. : 

Ft d'abord, élles forment l'esprit, 
en nous forçant à penser. Et ca: 
n'est pas là le plus mince avantage. 
Car 1] faut bien nous rappeler que 
c'est par ja pensée que les peuples 
comme les individus sont grands. Auÿ- 
si un des plus inappréciables bienfaits 
de l'éducation, n'est-ce pas de dévelop- 
per et d'affermir dans une nation la 
facuité de penser aves force et ave: 
justesse, u'éstce pas dé faire goûter, 
non plus à quelques-uns, mais an 
grand nombre, les. plalsirs que don. 
nent la pensée et le coeur; n'est-ce 
pas d'empécher ainsi 16 peuple de tohi- 
ber dans de viles ct grossières jouis 
sances, en Jui faisant aimer celles qui 
sont uobles et élevées? L 

Or, c'est là précisément le propre 
des humanités classiques, En algui- 


sant l'esprit, en lui ouvrant des hori: : 


zons plus larges, 'en sollicitant la cu- 
riosité intellectuelle, ‘elles élévent «1 
nous cette faculté par laquelle nois 
ressermblons aux anges-et à Dieu mc 
| me. Elles préparent, au sens le plu: 
juste et lo’ plus strict du mot, des 


donhées autour d'elles. Et'un tel ea-| hommes capables d’habiter les hautes 
seignement, bien join d'être artificiel | sphères de l'intelligence, de compren- 
et arbitraire, il est calqué sur la réa-| dre et d'aimer Je vraf, le beau, l'idéal 


meñt que d'autres les branches du 4a- 
voir qu'ils avafent paru négliger tout 
d'abord. Partant elles Tont quelque 
chose de meilleur, de plus fécond ct 
finalement de plus pratique que l'in- 
truction qui ne se renferme que dans 
le cercle des coünaissances utiles. El- 
les apprennent & raisonner, à imag:: 
ner, à combiner, À expertiser lès pré- 
jugés des Conitéiéstites céttäines, à 
rechercher la vérité qui est le premier 
5 … (Suite À la onzième page) { 


et wième de cultiver plus ses au es 


glorieux aussi pour elles que cette so à 


beauté 


rêvé 


de 


ed 


A Ÿ. t L ; . 
Les cartes de souhaits exclusives de 
 Dingwall coûtent si peu et sont si 


stocks sont 


es: KT 


au, grand 
Sn ir 


de l'inspection de’ toutes nos be 


RES 
| Vous avez réellement avantage à 
faire votre choix dès maintenant, 


laissé certaines lacunes, si eti a iées, que vous ne pouvez ; pendant que les stocks sont au com- Re 
“ os ; xd pe lier gs de vos amis, Nos! . plet. Un petit dépôt suffira pour 
“ Fempli sa mission on ce qui concerne dérsins sont très expressifs el très” placer votre présent dans nos voûtes 
7. 18 volonté, qlle n'a pas travaillé en originaux.  Failes votre commande | d'emmagasinage jusqu'à ce que vous Fe 
fs aujoufd'hui. RUE « Len ayez besoin. - ALT | LIEN re 
Or, lés humanités classiques, à cau- Re eLLT ui Re, » 4 4 / 


; ” -whaporte quelle autre discipline inte]- 


PA 


{at ne devait pas être meilleur. Mais, 


+ 


‘ &.eu plus de travail per$onnel, toutes 


.érir de la volonté. Es eflet, el 
Présentent plus de ‘difficultés que 


“léctuelle, et partant elles exigent une 
Plus grande somme d'énergie. Ce ne 
ferait peut-être pas :à un titre à uns 
‘ recommandation spéciale, si le résul: 


fout le monde admet en thèse générale 
qu'il ÿ a proport entre le dévelop 
pement de la volénté et le travail per- 
sonnel qu'il & coûté. Et jà où il ÿ 


‘Choses égales d'ailleurs, 1} y aura une 
culture plus parfaite et par cela seu] 
les études classiques garderoht tou: 
Jours, malgré tout, leur -supériorit£. 
Car enfin, l'exercice est Ja condition 


sorte, et notre pauvre langue françai 
se ne serait pas condamnée à ees exer- 
cices de clown. LE) 
Enfin, les études classiques met- 
tent dans l'âme un merveilleux équili 
bre. Grâce à elles, l'esprit reste éveil 
lé, Ja mémoire fécondée, le jugément 
rectifié, l'imagination accrue, avivée 
et disciplinée.. Si vous me demandez 


la raison d'un si heureux hénomène, | 


je vous répondrai: c'est parce -que sur 
ce tlavier formé par les mains de tant 
de génies et de tant de siècles, il n'est 
pas une impression naturelle, délicate 
ou profonde, énergique ou tendre, es- 


FE ou philosophique, qui ne ren- 


contre une note mélodieuse ou puis- 
sante pour la traduire. 


elle qu'ils opt 6 
volonté du Yainqueur ces garanties et 
ces ‘droits qui devaient sauv er 
notre autonomlé ‘et Tonder pour tou- 


cateurs que ‘nous devons ces triom:- |: 


phes. C'est à elle qu. nous devons ls 


survivance.de notre peuple. | 


Je: ne’ sais pas, mesdames et mes 


sieurs, quelle sera, au cours du vingtiè-1 


me siècle, notre Anfluenbe ethnique 
dans Ja lutte des races et des natio- 
nalités pour la prépondérance politi 


Û 


Dans le département dela porcelaine 


Notre section de porcelaine remaniée, avec 
ses nombreuses spécialités exclusives, ressemble 
à un pays de fées;. doucement éclairée avec des 
lumières voilées, elle reflète des myriadeës de 
* teintes et de nuances agréables. Un très impor: 
tant envoi de services en jolie-porcelaine anglaise 
vient. juste d'arriver. 1] est. important, à cause 
des dessins inusités et aussi à cause du bon 


. IL est merveilleux de. 
voir.ce que peut faire la 
mode, même dans une 
chose si ordinaire qu'un æ 


: parapluie: 


chant Ja beauté, elle n'a 


pas du tout 


. tilité dans les nouvehux 
rapluies Tom Thumb 

ls Sont courts, mais as- 
sez larges pour tenir à 
l’abri la tête et les épau- 


les —:et là 


$5.00 seulement. Il y a 


Argenterié de bon marehé 


En recher- 


sacrifié l'u- 


L'argenterie Dingwall occupe une position éimi- 
neute dans le domaine de la ‘bonne ârgenterie. 
Notre choix, cette année, à cause de la variété, 
de la distinction dans le dessin. et des prix qui 


CL 


+ 


ont été réduits, montèra encore en — 
cadeaux en argenterie de la plui bèlle qualité : à 
sont vendus $2.00 seulement. L'échantillon illus- 


prix est de 


: S : " : € î ‘ol: tré ci-dessus se vend $11.00. 11 y a tant de possi- , 
indispensable pour acquérir de la v> Aussi le jeune homme qui.a reçulque et le progrès de la vie intellec: eg go Aurvd er seau poeme d aussi quel ques g° 4 | bilités pour vous dans ce département, que vous. : 
lontä, aussi bien que pour fortifier 14 | cette culture générale, bien qu'il ne | tuelle esthétique et morale. Nous ne + es Mels-voué-ponetateres-que-les-éseuise 2Ù -dèles dans ui, éga-. 


Membres du, corps. Et c'est un fait 
que les études classiques ne livret 


leur secret qu'aux persévérants, qui ne 


soit pas prêt à entrer de plain-pied 
dans la vie active et payante, cepep- 
dant il est devenu un homme virtuel. 


sommes jamais sûrs d'un ‘siècle, de 
prospérité. Nous avons toujours à 
craindre l'invasion d'un courant ‘des- 


les prix sont faits pour répondre à tous les besoins. 


lement à $5.00. : 


. devez absolument comparer les prix aussi {ôt que 
possible. 


\ 


* 


x ‘ { / LS" VEN ki NE 
ns È \ f = 
répur®- dt pas aux recherches péni. | lement complet qui se distinguera tou-|tructeur. Mais ce que: je. sais bien . cobicée- À Q ] i ER N 
bles. Mais aussi quel profit, quels | jours de la masse par la puissance de | et n'hésite pas à dire, c'est-que nos -Notre Rayon de Diamants offre des _ Valeurs Exceptionne les te PR 
sinntages ne retire pas l'élève de c:3 | son intelligence, la vigueur de sa pen |institutions sont appelées à perpétuer ne C'est un fait bien connu que lé nom Dingwall sur un diamant lui assure la reconnaissance d'un |! 
exercices cent fois répétés et où, mille | sée, la justesse et la sûreté de son. ju. |l'esprit français par tout le'Canada ct | parfait diamant “Blue White” avec le maximum de brillant. Nos artistes et nos orfèvres ont excellé cette |! 
* embarras se rencontrent créés par les | gement, la richesse de-son imagiyg. | à lui assurer toute sa force. Dès jors à année dans la production de créations orginales d'idées que l’on ue trouve pas en dehors de certains LA 
one Coran eee 1e. cons | iles is-Aflaniaene de vus omatiments, | 1 08 de TN Se EE magasins très exclusifs des centres métropolitains. Si vous le désirez, vous pouvez encore obtenir un: |[« 
; truction. Cette gymnastique augmen- | la hauteur de ses vues, l'ampleur de|les encourager, à les soutenir et à | dessin exclusif, d’après votre propre idée, & temps pour Noël. Nous serons flattés de vous voig inspecter 0 
Doxe, Puissance d'attention, de r6-|ses conceptions, l'aptitude générale à |les faire progresser. . de - notre rayon de diamants, que vous achetiez main{cnant ou plus tard. $ f où: 
flexion et de jugement, ce qui est de | mieux saisir et-à mieux goûter le vral,| D'ailleurs tout homme qui a un-coeur ; E | : . Ya j 
nee umportance pour la valeur |le beau et le bien. 11 sera devenu plus | noble se sent-dans l'obligation de fairo L'idée nouvelle en- diamants de créatigus Dingwall exelusives, A 
intrinsèque d'un esprit cultivé; mais | homme, plus humain, plus capable de l'du bien 4 "ses semblables, de donner ‘ ‘ son Qu te enr re RCE mod hiveno-E: 
!” surtout elle maintient la volonté dans | comprendre l'humanité dans ce qu'elle | autoup, GB Jui joie, secours et appui, BAGUES MONTRES LAVALLIERES EPINGLETTES BOL TONS- DE MANCHET FES L 3 
une atmosphère militante qui la toni.|a de plus grand et de plus élevé, plus | de collaborer à l'oeuvre commune de BRACELETS PENDANTS EPINGLES : BROCHES . PENDANTIFS | D © 
fe, la. virilise et la rend supérieure à | capable aussi de la servir de toutes | son siècle. Quel champ immense s'ou- : | ° ee 
tous les obstacles qui pourraient s'os-| manières.- Voilà jes grands, les jru- |} Vre ainsi à notre activité! La familla, s — re + © _ CRT 2: ENS Ye Re US 
posér à ses conquêtes. menses, les incompärables bientaits | la patrie, l'Eglise, avec leurs devoirs, | rie ge CORTE SES À CHEVEUX _: SUPPORTS DE LIVRES CEINTURES AVEC BOL: 7" ju 
% Les éfüdés classiques forment en. |des humañhités classiques. jeurs besoins, leurs dangers nous en- CABRRETS M RS es EBÉNE AC POUR L'ETUDIANT CLE ARGENT, OÙ, OR. He 
core le coeur, Elles s'en font un IV tourent et nous sollicitent non point POU denied au tar lea due | en bits à à RO: 
puissant aüxillaire dans l'oeuvre £i : = seulement comme des suppliants à qui ‘ . Je78 ass 
difficile de l'éducation. Elles éveitjent | V°0ns donc maintenant quelques | nous ne devons rien, mais, en un cer- Dee CR 
en lui la pitié, l'amour, l'enthousias- | "5 des résultats obtenus. En effet, tain-sens,. comme. des créanciers qu‘! ‘ US : | 
me, la fascination. Quel est celui, on | © °5t aux fruits qu'on juge Je l'arbre. | faut contenter. L'Eglise, la famille, . d te 
effet, qui ne s'est pas senti ému: de- | Et POur juger de la valeur d'une mé-|,, patrie sont nos grands bienfaiteurs:; 4 - ù AR La Le mé nalere: ati. [ / 
vant les dernières heures de Socrate. Fhode, 11 faut examiser Je degré às que ne devons-nous pas à leur prote:- —Dans-beaucoup—de-maisons on - que sppFée ts ! nt apr 2 
deyant Ja fidélité conjugale de Pén£- manie Le es en tion, à leur secours, à leur sollicituds sera heureux-d'avoir un de “es Une ceinture en puir: ornée d'u’ ‘ 
æ lope? Quel est celui qui n'a pas été sr irnnd LEE sacrifices, à leurs précieuses u aux nou. : Une excellente idée réellement ne jolie boucle en or ou en ar-.: 
transporté d'admiration devant l'affes- | *°"Mes à même de faire les plus heu- institutions!  Paÿons-eur la dette de ons Rs L " Cadeaux toujours populaires, et pour celui qui recherche un ca" gent, avec lettres initiales, lui | À. 
à l'héroi reuses constatations. veaux prix de $2.00 ei 84.75. °° jmais plus avec nos nouvelles deau. lis sont remarquablement plaira sûrement. Quelques nou. ;  #ÿ 
, tion poussée jusqu'à l'héroisme de notre reconnaissance et remercions-les ; dessins « agréables se. | , ; 
‘2 2 C'est à la culture classique que : en à quelques-uns de plus brosses d'ébène à poils dé Rus-  ärtistiques pour $5.00. Ils sont veaux dessins trés ag ea se, | / 
Nisus et d'Euryale, devant la mort en a F doi Peu chaque jour en mous mettant en, état 7e | rie, dans une jolie boîte en cuir, en bronze et ex cuivre. C'est vendent $i ami. Et: - Res 
beauté, sur le champ de bataille, de cer} " "ne doit son grafdr acle, # [de devenir des membres utiles à la so- chers, mais nous citons ces deux  } $6 50 Vous ferez bien-de faire ‘“üne véritable occasion pour les. pour $3.50; vOUS afez des octu- 6: 
‘ énfant de là douce ,Argolide? Quel | 1401 °n revient de plus en plus. Ce ciété et capables de répondre à ce : exemples de valeurs spéciales. votre choix de-bonié heure. bremiers ächeteurs. . siohs exceptioggéliéN.: "2: 1108 
est celui qui n'a pas été touché jus-[°°MmMerce des chefs-d'oeuvre anciens qu’elle demande de nous: “. F4 : Énie it , do : : 
qu'aux larmes devant les adieüx d'Hec- Ce CT DE Li rh . Nous sommes de descendance fran. ; - FR : su - ce: se ; ù 
tor À’ Andromaque, en entendant ces quore de l'esprit, | oise, : ‘C'est ie sang chaud des Laiins - 8 NA PTS re { DT ROTION "QC, SATIN D'EXRFANTS K, 
._ paroles tombées de la bouche du, hé|°elt® visueur de pensée, certe jus [entre C'est le sans chaud des Lalins î LE SALON FRANCAIS AGRANDI SECTION DES CADÉAUX D'ENFANTS 
- TE “à | Rrobortion entre les facultés, cette sa-| êtres qu x Dans les années précédentes, il a tôu--# À , 
ros troyen: ’ se prit de nos ancêtres qui vit en nous, | RARES | . 1 £s. annees pre . ds 
: , reté de goût et cette richesse de style, | . N om- suscite beaucoup d'intérêt parmi les acheteurs de ours été difficile d'avoir des cadeaux ' 
Chère épouse, en essuyant mes larmes le véritable esprit français. Nous som l l [! RUE à Joui <HiTUci ° . 
J'ignore quel succès le sort garde à |‘°t ensemble de. qualités maltresses mes, en conséquence, bien pénétrés de petits cadcaux de Noël, 11 rend le choix si facile plaisant à l'oeil des enfants et obte- 4 
es ares: | de = rh 2. se ete vérité, que c'est Fidée qui mène ct ses articles représentent des cadeaux si utiles |] ‘nant cu tie tempa ) shoes Le » 
Je te laisse mon fils pour gage de ma . ‘Le con wt rec Avec Jéflie-monde. Forts le ces principes ot ‘ , no qe TS ; Le ‘antiafai Il parents. De diligentes rec ierches ont: 
fol, grands écrivains d'Athènes et do Ar ut d'unb lle entière ire 4 qu un grand nombre cn sont très ne permis à nos acheteurs de réunir dé 
S'il me prénd, je prétends. qu'il mo |®° leur a valu à eux-mêmes le titre] illons ferme et comibsiions £vec faudrait cette page entière pour décrire sculemen très intéressantes nouveautés: bijou- # 
retrouve en toi. | : | ee : os proLsei) ardeuk ceux qui voudraient, par’ des quelques-uns ‘des nombreux artictes actuellement terie qui est un duplicata exact _ # 
Si d'un heureux bymen la mémoire] *", *" DOUr obenir cet honneur, | onts impies, tarir les sources on tan: nt our la-preiniére fois : celui dont la maman est sifière, et À 
t'est chère, S [et sf J'oso ainsi parier, cette mission, | ne et ds vitalité da la race dont présentés à nos contitoy re : 1 s moins de #2.00; services à couture, ma- , 
Montre au fils à quel point tu chéris- il faut par-dessus tout qu'une raisou nous sommes les fils. .Rappelons-nous nouvelles Jampes, abat-jour, coussins, ornements, gnifiques jouets IUNGL 2” de Lon- #4 - 
sais lo: père. | fermo et lumineuse domine. les ee que les victoires remportées par nos pour la maison, fleurs, fantaisies de boudoir, vases, dres, et un grañd nombre d autres d 
Voilà comment les études cfassi. |'*Cultés, même les plus brillanks et pères ne l'ont jamais 616 à armes éga! Rs NS AS MR jouets qui réjouiront le coeur d'un enfant. Tous 
ques, au cours de leur cycle, excitent les plus originales, pour les contenir les. Pius nos ennemis seront noin- : et un millier autres artiçies Encore. nouveaux, tous différents, tous à des Prix modérés. 
dans le coeur les sentiments les plus dans la vérité, l'ordre et l'harmonie. breux, plus nous devons avoir de con . j Se - - 
‘ nobles et les plus relevés. Et ce fai- Or,'à ce point de vue, les anciens res- rage. Si les flèches qu'ils veulent ge” 
sant, blles foutaissènt à l'homme, au ns hors ans. et nr ne 44 nous décocher allaient jusqu'à obsèur- x + AUAE À + 
int de vue de sa vi le, - EPST : COREONYE; A dans 168 li Ja Juinière du soleil, disons avec ; Rp AA Bi, 1° ; : 
cours qu n'est pas à dédaigner On |MPlbles aus nous ont laissés, outre [eg 1e IvPièrS du soleil. disons avec Les Cadeaux de Qualité en*Bonne Bijouterie pour Tous. , 
L ie la netteté et l' : », ae è .. ; _æ + : 5 * | 
pont mème \nffrmer que l'infuen-q ua nue re Roc POoRE nous -combattrons à Tombe!” à poussént tant de gens à acheter Me bonne heure, qu'il y a un réel danger de voir les stocks sérieusement - 
des sentiments sur les US pe de proportion, une iviondoer de bon JAI: restons toujshre ce. que. nogs dégarnis avant Noël. Ces cadeaux ont tous été choisis -—- ct ils Sont attrayants pag-leur beauté autant que 
PROUTTS PALDNNS, Erhnde. Ghe. colle ge LT acontre guère -Je | "MS S'en à dire demeurons none. ar leurs prix. : Nous attirons spécialement l'attention sur hos nouvelles créations Eh or blanc, qui sutit sans 
‘ facultés supérieures : sur les senti- nt-0n;ne rencontre -guère je mêmes, issus des vieux Gaulois et des au . d ñ de de de la saison “s ' 
monts. En effet, ces derniers agis-|"°1et Que cheg ceux qui se sont for- Pronts . aucun doute Ja grande mode ‘ ; 5 
- cu més à leur école. C'est bien ce que | ! 4 : : à éc à ( Brochés, à partir de. 
, \ f : Baguësnouveauté, à rtir Epingles À écharpe, à partir roches, à partir de....93.50 
10 volnté où ses cémens ne qu [Peeait l'ilestie poatiée Léon XII | emmmbennine _— Roi tr ass dE MS Un tendre: :#325  Epipgles, à partir de. 95.00 
stimülent à l'action, mais encore {ls |/0rfaue dans une lettre au clergé de L’ . ne .,,0 Bagues onyx, à partir de $4.50 Madséditses Fer dames, à Boutons de manchettès, à Epingles dé bébés, à Te 
: R RÉ si f Fyânce sur les études classiques, il origine. des calculs biliaire Epingles en or blanc, à par- te de. .., partir de ..,,:1,:,.,0, $5.00 | DS APOE STE td 
les aident à s'appliquer à 1è objet Li ce x : tir de $10.00 partir de ... 83. Couteaux, à partir de...97.00 Bracelets, à partir de. 821,00 
avec désir et avec passion, avec inté-[ "salt: "Ce sont elles qui out forms| : Bagues avec perle naissance,  Bagues-signet pour messicurs, Boucles de ceinture, à partir  Pendants d'oreilles, à partir ! 
rét et avec persévérance.” Tant {1 est |!°5 hommes éminents dont l'Eglise de| C'est ‘tout simplement de la bile à partir de .......... 82.50 à partir de #....,.,.. $6.00 D nes sscnosss à $20.00 RURAL É LEA ROT $10,00 
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ment réglée, bien développée et pro- tan,'tes Thomassin\les Mabillon et tant cristallins de ce fluide. C'est une| = 
: fonde donne. À ja vie morale force et d'autres, sans parler de votre Bossuet, | najadic très fréquente chez les mar- - — - 
re peretiqn Out Li par Félévation den ponnces, vor |ehands, les prêtres, Les filles d'usine. Nous nous sommes. eflorcés de faire 1e LE PLUS BEÂU MAGASIN DE - 
srfection! € ‘saus en- a5on tes, soit | Qui bitudes sédentaires. st pl eee ns 1 pps 
perfection! Car un homme saus en : qui ont des habi [ e d ipeses à de : 1QpÈr ; 
train, que le sentiment ne stimule | P#" là noblesse du langage, sou génie | Bour prévenir celä;.il suffit de main- hr enr eee ge nr BIJOUTE UE DE L'OUEST ; 
point, n'a que la moitié de ses forces | Plane dans les plus sublimes régions | {enir bien le foie et les intestins. On | es Fe Sénee à fes CANADIEN ; Ë 
pour le bien. Le triomphe est donr de la ‘science et de l'éloquence chré obtient cela rapidement en usant des respectueusement nos clients ha trs ph . 
; ° .. É “ n e 
complet quand l'intelligence ét la vo tienne. | . . | Pilules -du docteur Hamilton. Au- | al sus de DE DR pénis pret 
lontég le coeur et le sentiment s'unis-| ©°st à la culture classique en-|cune personne usant des Pilules du! désappointements. sez VOS 
sent pour tendre au même but, Et les |°°7t.que le dix-huitième siècle est re- | docteur Hamilton n'est-sujette à des , maisinnat à lolair, di pensant Que les suis: 
! + Et les . rene ; ments ; -8t ” 
humanités ‘classiques - opèrent  eetté | *Yable de ses hommes les plus illus- calculs biliaires. Pilules du doc- légèr, dépôt, vos achats seront placés dans nos 
merveilleuse harmonie, et elles sont|t7*5- 1Æs Fontenelle, lés Daguesseau, |feur Hamilton assurent une saine coffre-forts jusqu'à ce que vous en ayez besoin. à 
seules capables de l'opérer les Roliib, les Buffon, les Voltaire, ces digestion, un bom appétit, un teint { L 
x Ç / S ; n i ° À 
De plus, les humaités classiques [5251 - sont lous des gréco-latins cjair Elles sont les meilleures et 
épurent le goût. l'est bien vrai] Quant aux écrivains de marque, prosa-|je plus efficaces comme remède de | ; 
k teurs ou poètes du dix-neuvième sié-| famille. Quand vous avez besoin ; 7 + \3 
— l'tle, ils t bien rares ceux qui üe!d'ün if, que vous vous sentez 14 PE Cr) 
’ Un grand nombre de mères |d°!vent pas &'leur commerce avec l'an-| peu en condition, c'est le temps alors la ; è ne Ci. “AP 
ol i à is- | tiquité le meilleur de leur talent. Du] de i Pilules de Mandra- k ‘ : ’ ET ET he 
euvent témoigner dé la puis recourir aux es de Mandra- PRE TEEN rat es D MERE 
: ar e * Mother Graves Worm®oins on peut dire à coup sûr“que| gore et de Noix de, Beurre du dôc- , “PRESTIGE SANS PRIX-EXCESSIFS PEN NE *Lrness aa 
: i foent-le- plus d'honneur-saux ilton. 25 sous chez tous les RE CORRE A MO RES 2e ONE “ANSE Lune: 22e TN ed ol 
__Exterminator, parce qu'elles | <°ux-aui fe S L. i 
cri lettres françaises sont aussi les plux! marchagds on The Catarrhozone Co. A ai: ie 
tonnaissent par expérienée son ee +8 1 ! > 
| utilité. du fidèles disciples des vieilles humanités. Most pis tas te Fa k 
uw À / \ CA k / d ? . à ; PR : : Chu. 5 EEE 
7! A î CAL 4 FN (N . ‘ ‘ y LM * ++ + Lis 
‘ F + Lie È . k F RE « DENT ee ur SRE 
‘4 Fi x ? 4 ÿ : » Pt \ 7 D ; é s 4%; id Dé AE de ie D: #48 SU An. di |. 


QE TA 
” 


ae 


achet s mi A 

eu- son -Cortillät. : C’est alors qu 
darit à ane inspiration qui ne 

avait point encore-visilé, il 
avait dit, devant Mme Cortillat, 
cetie phrase que jamais il n’a- 
vait encore prononcéé el qui, 
une semaine auparavant, était 
bien loin de sa pensée: “Reste 
à savoir si ces meubles convier 
dront un jour à ma fémme!” 
Depuis te jour, l'idée du ma- 
rage était à demeure dans don 
esprit: äl ne °c it pas à 
Pen-déloger. ” Il semblait qu'an- 
tout dé Jui, on s’employât à l'y 
naintenir. Comme il avait fail 
don à l’abbé Tharot d’un très 
beau calice d'argent doré pour 
le remercier de son hospitalité, 
le y Ag Wui-dit: “Mon cher 
ami, le calice messervira pour 
la première fois quand je célé- 
brerai la messe, le jour de votre 
mariage. De grâce, ne me fai- 
tes pas trop attendre!” Pierre 
Bravières eût voulu promettre 
à l’abbé Tharot-cette joie que, 
dans un temps prochain; il'au- 
rait à se servir du calice, mais 
rien ne l’autorisaït à ‘offrir un 
tel espoir au doÿen. Ce jeune 
homme avait envers la vie de 
singulières exigences: il récla- 
mait d'elle plus que trop sou- 
vent-elle ne peut donner. Pier- 
re” était de plus en plus résolu 
à n’épouser que la jeune fille 
qu'il'aimerait et dont il serait 
aimé. - Il ne concevait pas une 
union indissoluble, éternelle, 


sans un amour fort et récipro- 
Il se disait ua 


force un peu abrupte et cette 
un | douceur un peu massive. . 
& sa mière rencontre 
avec elle, Pierre Bravières avait 
subi le € qui émanail 

{d'elle et contre lequel il n'avait 
or rer à " 

dre: “Dire, pensaitäl, que | 
devant moi la fille du vieil-ours k 
l'avec qui je ss én guefrce! 
mu malheur pour cette énfaiit 
| ‘avoir un tel pére!. Quel mal: 
heur plus grand ercofe pour 
elle, d'étre forcée de vivre avec 
nilüi! Ce qu'elle doit souffrir!” 
-|Mme Poncet à- qui. le lendt- 

aucun, Mme Poneet, et dans main, il fit part de ses ré- 
courts instants où elle s'é-|flexions, se garda btende le dé... 
cartait du sujet, qui, de toutc tromper. Elle pensa qu'il était 
évidence, tenait au cheur de sa | de l'intérêt de la cause qu’elle 
| nle, jeune homme ne pou: |servait de représenter Françoi- 
-. #ait s'empêcher de souhaiter |se Clianteau comme une vicli- 
.: qu'elle y revint, LL  .|me, une martyre qui devait su- 
: Elle y revenaît très vite, avec |bir, chaque jour, les emportc- 

© Mn élan qui ne faisait que croi- | ments, l'humeur âpre et despo- 


ve chaque jour: -elle s'était tique de son père, contre laquel- 
A6. ue | cd médecin s’in-|le la nature moutonnière et 
te ? à Françoise Chan- | passive de Mme Ehanteau né: 
eau qu'à sa sciatique. Mmc | tait qu’une médiocre défetise. 
À a n'était point tentée d'eu Heureusement, la vérité n’é- 
reproche au jeune hom-\|{tait point si sombre, mais Mnx 
ne : “Le doyen sera content de | Poneet croyait habile de pous- 
moi”, se disait-cllé. ser au noir le tableau des tour- 
«La vérité est que Françoise ments supposés de Françoise. 
tait fait une extraordinatre | Elle voulait que la jeune fille 
impression sur le docteur Bra-|s'offrîit aux regards du docteur 
vitres, lorsqu'il l'avait vue à | Bravières avec le prestige de la 
la vi des Bruyères. Pour-|beauté, de la grâce. et du mial- 
tant, il n'avait guère pu: con-|heur. Délibérément, elle -cher- 
uaître de la jeune fille que lés |chait, en exagérant les aspéri- 
ägtéments et le charme de saltés de caractère du docteur 
Personne. Mais ces agréments | Chanteau, l’inertic de tempéra- 
“#t ce charme étaient tels qu'ils|ment de sa, fémme, à apitoyer | à 1 Ï 
ñe pouvaient passer inaperçu:. | Pierre 'Braviètes, à l’attendrir|pas que son mariage fût une 
vec son fin profil, l'ovale har- |sur le sort de cette pauvre Fran-|aventure. Aussi nc pouvait-il 
. Monieux et le coloris délicat de fçoise, fleur délifate poussée en- | donner au‘doyen une assuran- 
son , sés yéux bleus etMre deux rocs et qui s'étiolait|ce plus formelle: l’élue, il ne 
\ «ses cheveux d’un blond -d’or | dans ce milieu sans lumière ct la connaissait pas. Françoise 
qu'elle portait relevés en ban-!sans joie: “Avec les hommes, | Chanteau! il n'avait. fait que 
déaux sur les tempes, Françoi-|ccux du moins qui ont un peu|l’entrevoir. Sans doute, et il 
se devait enchanter le premier] de coeur, ça prend toüjours”, | était près d’en convenir, cette 
regard d'un jeune homme. |pensait-elle, ; Pierre n'avait | jeune fille ne lui était plus in- 
Ceux qui la voyaient à côté d: | point contrôlé les dires de Mme | différente. Pierre n'osait s'a- 
son pére, grand, au torse robus-|Poncet: il n’y songca pas, tant! vouer à lui-même le travail in- 
te, et de sa mére qui, ornéeiles affirmations de sa cliente !tqieur qui s’opérait cn lui de- 


- = }a 
nirs Co isan- 
-était revenue, seiiblait-il. 
exprès a une sémaitre 
ces visites devétiaient quoti- 
diennes, — Pierre la . it 


Dm — rançoit Chanteaue Blen 


eux, il utait sans déplai 


que. tendre 
que le mariagé soit célébré 
pour savoir sion s’aïmera, c'é- 
tait,-pour parler comme les 
gens de Brenay, “mettre la 
charrue devant les. bocufs”:; 
c'était s'exposer à des surpri- 
ses, à des déboires, c'était aller 
à l'aventure. Et il ne voulait 


… ANEMIE, PALES COULEURS, DEBILITE GENERALE TRAITEES 
AVEC SUCCES CHEZ LES FEMMES PAR LES 


ILULES ROUGES 


Je souffrais fréquemment de maux de faible, nerveuse et je n'avais clus les ca- 
tête, de palpitations de coeur ; j'étais ner.  pacités nécessaires pour m'occuper de mon 
reuse ef sentais mes forces diminuer &ha- ménage. J'avais employé plusieurs remè- 
que jour. Je n'avais pourtant pas mhn- des, mais sans obtenir de soulagement, 
qué de me traiter. Plusieurs remèdes due Un jour, dans les journaux, j'ai lu ce que 
j'avais essayés ne «m'avaient pas remise plusieurs femmes disaient avoir obtenu 
et il y avait des mois que cet état duræÿt. des Pilules Rouges et j'ai voulu, moi aussi, 
J'ai pris des Pilules Rouges, qu'une“agié - prendre ce remède. Quelques boîtes ont 

Me recommanda, et la santé m'est reve- augmenté mes forces et, en peu de temps, 
nue, Mme Hyacinthe Leduc, 482, rue Wil-  j’étais remise, Mme Jos. Delisle, 56b, rue 
liam, Montréal. v- Irène, Montréal. , 


Je crois de mon devoir de recommander 
les Pilules Rouges à toutes les mères de 
famille, car je m'en sers beaucoup. lai 
plusieurs jèunes files et sur le nombre il 
‘y.en a toujours quelqu’une qui fait de l’a- 
némie, de la nervosité; qui manque de 
sang. Quelques boites de Pilules Rouges 
réconfortent toujours. C'est le meilleur - 
remède que je connaisse. Mme Jos: Beau- : 
a regard, 479, rue Division, Fall River, Mass. 
C'est après avoir pris les Pilules Rou- 
ges pendant seulement deux mois que j'ai 

vré les forces qui m'étaient néces- 
saires. Jé n'aurais jamais cru à un résul- 


# 
Y 


7 


Chaque fois que j'ai eu recours aûx Pi- 
lules Rouges elles m'ont toujours fait 
beaucoup de bien. Maintes fois elles ont 
releyé mes forces disparues, ont fortifié: 
et calmé mes nerfs, activé ma digestion et 
rétabli ma santé chancelante. C’est de 
tout coeur que je les recommande aujour- 
d'hui aux femmes anémiées. Mme Wilfria 
Pelletier, 89, rue Prince, Salem, Mass 


Les mères de famille font prendre, & 
leurs:fillettes les Pilules Rouges pour leur 
assurer une bonne formation, 


Fe i ide, car j'étais excessivi ."t , | 
ab le ve tout mon istbine se “resseritait . Les rte qui sea de maladies 
manque de vigueur. J'avais souvent Internes, d'anémie, eic., trouvent leur sou- 
pme de têtes des douleurs d’esto- lagement dans l'emploi des Pilules Rouges. 
mac dues à ma mauvaise digestion, et une . En | 

foule de malnisez Mme Lucien Laflam- Celles qui craignent les accidents du re- 

V3 me, 104, rue’ Putnam; Manchéster, N.-H. tour de l’âge doivent recourir.aux, Pilules 

è 1e, sie en Rouges pour aider le sang.à se bien placer 

J'étais chétive et faible; durant la jour- £t Pour éviter les maladies les plus dange. 
* née je me sentais affaissée a juni d'a- ‘94ses. | 
bondantes transpirations. : Différents re- rr' : : 
mèdes que j'avais pris ne m'avaient fait COPPES A CATAERS, Les 
aucun bien. En dernier lieu j’ai employé M£decims de la Compagnie ique 
. ‘4e Pilules Rouges et les forces me sont . Francÿ-Américaine donnent des consul- 
. biéntôt revennes. Mon rétablissement à  tations gratuites à toutes les femmes qui 
été complet et permanent. Aujourd'hui viennent des voir ou qui leur écrivent. 
. je recommande lés Pilules Rouges à tou- À À 
‘ : tes les femmes. Mme Vve William Biron, Les Pilules. Rouges. sont en vente chez 
» rue Robert, Artie, RI.  : RE tous les marchands de remèdes. Prix, 50 
el, 14 - = sous la boîte. Si pneu ne pouvait les 
‘ ARE J'avais de fréquents rhaux de tête que trouver dans sa localité, nous les lui en-. 
ERA 'attribuais au manque de sommeil ; j'étais verrons sur réception du prix. 

{ -g ar gd: LME cé E = nie de SUR E V'ANTPRT : it -rat NEIL 
| à CHIMIQUE FRANCO-AMERICAINE, LIMITÉE, 274, St-Denis, Moutréa] 
4 LOMME AE che ; er , 

LL — “Ha 6 ie x - 
4 « DA ‘# Can - j 
FFE die pds : é 2 
PIRE TT Lan PRE" 


Da cd de LE NÉ Eee 2 
+ 
Vo 2" DS da 


tre Bis la Jeune Me avait Be 
voquée-chez hi. Tl évitait 


nir men songes ane 
venir Françoise Marins 
Rire Pere De 
urde e r, 1 é 

dans le domaine de HE ro 


corfrère, de son ennemi, il n'o- 
$ait arrêter son 


nement aussi invraisemblable: 
“On. doit avoir une jolie. 
nion de moi dans la maison, s« 
| disait-il: les dames Chantean 
l'en entendent de dures sur mon 
. vompte, et si le vieux pouvait 
Lim’éträngler!.” Si le docteur 
Bravières eût connu-ce qui 
| passait dans l'âme de Françoi- 
se Chanteau, peut-être e@til 
| laissé ses pensées prendre plus 
d’allure et d’audace NS 
|: I s’en fallait que Françoise 
:Fût “la victime,’ la “martyre” 
que Mme Poncet avait repré: 
sehtée à Pierre Brawères! Li 
‘vérité est que la jeune fille n'a- 
| vait point trop 
| Famille. Mme Chanteau, en 
| perpétuelle alarme sur la santé 
de sa fille, traituit Françoise 
comme -uhe fermière ses pou- 
‘lets de grain: elle semblait n’a- 
voir arm souci que de voir 
son poussin “engraisser”, pré+ 
tendant que l’erabonpoint est 
un signe de santé, et; s’offrant 
| elle-même comme exemplé ét 
icomme preuve. Elle passait 
ses jours et une bonne part de 
ses nuits à imaginer les précau- 
tiôns à prendre pour que. Fran- 
çoise évitât Je rhume de cer- 
veau, et dépensait dés trésors 
+dinvention, d’astuce, de téna: 
cité pour la préserver: du froid 
aux ro ou des courants d’air, 
Le docteur avait pour sa #ile 
june affection profonde qu’on 
:cût très justement prise pour 
| de la tendresse, si, par pruden- 
ce, il ne l’eût dissimulée sous 
lces airs bourrus qui masqu'äient 
sa vraie nature. 1l se cachait 
| pour chérir sa fille, ne redou- 
fait rien tant que de paraître 
|“sensiblard”.. ÎL-aimait sélon 
son tempérament, €T à sa ma- 
Inière, fortement et rudement. 
(Sans qu'il y parûüt, Françise 
exerçait sur son père un empi- 
re d’une irrésistible, douceur 
dont clle ne cherchait pas à 
'ubuser,. mais qui l’aidait bien 
souvent à maïiñltenir Ja paix 
‘dans la maison! Que üe fois 
[les emportementis..du docteur 
étaient lombés- devant la mine 
|attristée de sa fille! . Que de 
fois une parole, un régard de 
Françoise: avaient épargné à 
Fsa mère une de ces -algarades 
{que son mari ne lui ménageait 
| guère! 
|. Françoise Chanteau n'était 
donc pas une “victime”: heu- 
reuse, elle n'avait qu'à se lais. 
ser aimer de ces deux êtres qui 
ne vivaient que pour elle, La 
jeune fille avait vingt et un 4ns 
et n'ignorait pas qu’elle devrait 
un jour, bientôt peul-être, quit- 
ter ses parents, Elle savaii 
qu’un jeune homme viendrait 
qui serait d’abord l'étranger, 
puis le fiancé, puis le mai, le 
maitre qui l'emmènerait ail- 
leurs, loin peut-être. ;:Bien que 
Françoise n’eût aucune raison 
de voir en cet inconnu le sau- 
veur, le libérateur qui la déli- 
vrerait de ses parents, il lui ar- 
vivait parfois de penser à lui, 
d'appeler le rêve à son secours 
pour tâcher de se le représen- 
ter tel qu’elle voulait qu'il fût: 
elle, aimait ce type de mari 
qu’elle s'était ‘créé.  Dépuis 
qu’elle avait réneontré le doc- 
teur Bravières. chez Mme Pon- 
cet, il lui semblait que son rêve 
s'était précisé, que Fimage si 
lointaine et si -indécise auparu- 
vant prenait des contours plus 
fermes. Pourtant, que savait- 
celle du jeune médecin? Toul 
au plus, pouvait-elle porter un 
jugement sur la figüre et les 
manières du docteur Bravières, 
Sa figure était agréable, ses ma- 
nières étaient fines, distinguées, 
mais Françoise avait la sages- 
se .de- n’accorder aux attraits 
physiques que la considération 
qu'ils méritent. Elle n'avait pas 
la sensibilité d'une petite eou- 
lturièré qui attache son coeur 
[aux moustaches du beau -eui- 
| rassier qui: passe; el Françoise 
ne pensait pas qu'une paire de 
larges épaules, avec leur presti- 
ge de contreforts étayant.: une 
haute bâtisse, fût nécessaire à 
son bonheur. Assurément, Pier: 
re Bravières manquait de pres- 


‘ble. Lui, épouser la fille de-son | 
ésprit à un évé-| 


à pâtir dans sa. 


; ve Lorsqu'on pronon- 
ait nom de Bre- 
vières, ell 


Bourg, : la maison. 
Quand'-Frahçoise se. trouvait 
seule dans ta salle à manger, il 


rir d’un élan jusqu’à la fené- 
tre, de soulever le rideau d'un 
doigt discret, pour voir passer 
le-médecin, et de le suivre dés 
yeux jusqu'au moment où ta 
Voiture disparaisshit au tour- 
nant de Ja rue des Fossés. 

Ce besoîin d'affection, de ten- 
dresse qui était en elle, la jeune 
fille le sentait grandir depuis 

Welle avait rencontré Pierre 

avières Chez Mme. Poncet. 
Lorsque autrefois Françoise sc 
demandait quel tribut de que: 
lités de coeur et-d’esprit devrait 
lui apporter, pour faire d'elle 
une fehame heureuse, celui qui 
se présenterait pour être sûn 
mari, jusqu'où pourrait aller 
son ‘rêve de jeune fille et où il 
devrait s'arrêter, élle vonclu- 
ait: “Oh! pourvu qu'il m'ai- 
me!” Quandelle pensait main- 
tenant à Picrre Bravières, elle. 
se prenait à croire, sans/tenter 
-de raisonner et de justifier un 
sentiment si. soudainement 
éclos, que celui-là, s'il-était son 
mari, l’aimerait vraiment eorh: 
me ele voulait être aimée. Et 
c'étüit pour elle une grande 
douceur de se dire que son 
coeur pourrait répondre à uné 
telle affection-qu’elle prévoyait 
si tendre et si forte. , 
Mme  Poncet, qui ‘avait le 
“flair”, comme il lui plaisait de 
s’en: vanter; croyait bien avoir 
deviné les pensées de derrière 
le coeur qui hantaient Françoi- 
se Chanteau et Pierre -Braviè: 
res; et elle se réjouissait: “Ils 
se plaisent, -c'est sûr, ces pe- 
tits, se disait-elle. Au. reste, 
pouvait-il en être autrement”? 
Cette gamine sérait bien diffi- 
cile si le jeune Bravières offus- 
quait ses regards. Je voudrais 
bien voir ça qu’elle fit la dé- 
oûtée! Et le docteur aurait 
onne grâce vraiment à dédai- 
gner un'‘petit coeur qui ne de- 
mande qu'à se donner! Est-elle 
assez gracieuse, fine, avenante, 
cette Françoise!" Quel plus joli 
cadeau peut-on faire à un en+ 


fant de vingt-sept ans\qui est 


en appétit de mariage, me 
ils le sont presque tous à pareil 
âge! Tout va bien, mais nous 
ne sommes pas au bout de nos 
‘peines. Le plus dur reste à 
faire.” 

Mme Ponéet comprenait très 
lbien que l'élan de sympathie 
|qui semblait pousser l’un vers 
| l'autre ses deux protégés, ris- 
[quait de tourner -court, si ôn 
| ue leur offrait pas des oecasionk 
| de se voir, .de se connaître, pat- 
tant d'augmenter leur mutuelle 
estime, en attendant cette autre 
chose qui ne pouvait tarder-à 
‘venir, L’embarras de Mme 
Poncet était extrême. Les con- 
vier de nouveau, astucieuse- 
ment, et par surprise, à se re- 
trouver à la villa des Bruyères, 
il. n’y fallait point songer. 
Qüand bien même le jeuñe mé- 
decin et aussi les dames Ghan- 
teau se prêteraient à là petite 
manoeuvre, et ce n’était pas im- 
possible, après tout, “le vieux 
croquemitaine de père Chan- 
teau était à pour. un coup”, 
comm disait Mme Poncet, 
procédé de l’embuscade était 
donc ‘éventé,  Il'convenait de 
trouver mieux. Tandis qu’elle 
y réfléchissait, Mme Poncet sc 
souvint très opportunément que 
la villa des Bruyères, bâtie par 
clle quinze- ans auparavant, 
n’avait point encore été bénite 
par M. le curé. Eh bien, elle 
réparerait sa négligence, don- 
neraïit à la cérémonie une cer- 
‘taine solennité, inviterait les 
personnes de ses relations, et, 
tout naturellement, le docteur 


couper. + Enlevezdes sûremen 
et sens douleur avec Holloway's 
Corn Remover, K 


4 
À 


lui arrivait de se lever, de‘cou- | 


PS AI 
ni _ 
L L r 


45 


Le. 


naître à son eus d 


Poncet atténdit qu'ils eussent 
quitté la sacristie, puis brave: 
ment elle exposa Sa requête au 


doyen. gas : 

«— Madame, fit l'abbé Tharot, 
bien qué votre désir de deman- 
der pour votre maison les bé: 
nédictions de l'Eglise soit bien 
un peu tardif, je ne puis que 
l'approuver. : : | ‘ 

—'Oh! monsieur le doyen, 
s'écria Mme Poneet, que vous 
êtes bon, ét comme je wus re- 
mercie ! 4 ee 
: — Ne me remerciez pas si 
vite, fit le doyen, calmant d’un 
geste cet élan de gratitude, je 
veux bien bénir votre maison, 
mais jy mets toutefois une con- 
dition. 

— Et laquelle? fit Mme Pon- 
det.::. "% 

— Ïl y a, reprit l’abbé Tha-: 
rot, dans les prières du rituel 
que je lirai à haute voix avant 

’asperger d’eau bénite votre 
maison, une phrase que. je 
me permets d'offrir à vos ré- 
flexions : “Et intra parietes do- 
muts islius angeli tuae lucis jn- 
habitent.” 

— C'est que je ne connais 
pas le latin, dit. Mme Poncet 
d’une voix humble, et baissant 
la tête comme. une petite fille 
qui n’a pas appris sa leçon. 

— Ah! c'est juste! s'écria le 
doyen: Je dirai dans la prière 
du rituel: “Seigneur, que les 
anges dé ta Jumiére habitent 
entre les murs de cette mai- 
son.” Or, je ne voudrais pas, 
madame, donner aux ages du 
Seigneur de trop vilaines cho- 
ses à garder, ct les exposer à 
se trouver én une compagnie 


qui ne saurait leur agréer, Vous. 


avez chez vous, je le sais, et je 
vous en ai fait maintes fois 
reproche, beaucoup de livres. 
de ces dibri lepidi, de ces fabu- 
lae ‘amatoriae. (1)..1 ah! par: 
don, de ces romans, je veux di- 
re, qui sembl rits tout ex- 
près pour Ja perversion das 
coeurs .et la perdition. des 
âmes! k 
— Monsieur le doyen, dit 

Mme Poncet, l'air contrit, les 

eux à terre, je prends la réso- 

tion de n’admetfre chez moi 

que des romans dont les au- 
teurs sont de l'Académie fran - 
çaise. » 

+ 0h!-madame, fit l'abbé 
Tharot, vous me donnez là une 
assez piètre garantie!. Bien que 
l’Académie française ait eu 
pour fondateur un évêque, un 
cardinal, il.s’en faut que tous 
ces immeéssieurs qui lui doivent 
aufourd'hui d'être académi- 
ciens soient des 1#nges de lumtié- 
re! - Non, je ne puis être satis- 
fait d’un pad rer aussi peu 
rigoureux... ’assurez-v'o 5, 
madame, que Je jour:de la bé- 
nédiction, je né verrai pas s'é- 
taler sous nes yeux des livres 
dont le titre et le nom seul de 
l'auteur -sont un scandale ? 

. + de vous promets, monsieur 
le doyen, que vous n’en verrez 
aucun! 

r— Alors, c'est chose ehten- 
due, madame, fit l’abbé Tha- 
rot, pour le jour qu'il vous plai- 
ra de isir, et que vous vou- 
drez bien me faire connaître, 

-Lorsqu'elle eut quitté le 
doyen, Mme Poncet chercha 
peer de ta semaine elle 


5 


ER 


théologiens pour parler de romans. 


, 


s'arran-|re à sa femme et 


HA 


4 dou. 
reuses, expressions qu'emploient les 


eût lieu en l'absence ‘du-vieux 


ù di? 


p 


à sa 


ta 


presse 
nouvelle 


ent ou non. 


ifse répandirent en propos necr- 


“Un lunch, qu'est-ce a" 
c'est que ça? Un Tunch à Br 
nay-sur*Andarge, avait-on ide. 
de cela, par exemple! Qu'es:-” 
ce ge c'était qué ces manières 
de Paris, de château, de gran 
monde, que cètte dame Poncr! 
voulait acclimater à Brepay wr— 
la vie était-si simple, si fami- 
liale, ‘où l'on se: contentuit de 
se recevoir, sdns façon, entr: 
bons amis? C'était une orgueil- 
leuse, une faiseuse d'embarras. 
cette dame Poncet!” Dans cét- 
te petite ville décing mille ba- 
bitants, où le ren d’un do- 
mestique suscitait plus de ru- 
meurs et de commentaires qui 
la mort d'un roi d’Angleterr:. 
une révolution au Portugal, 
l'annonce de cette bénédiction 
suivie d’un lunch prenaït le: 
proportions d'un événement. 
usqu'au jeudi, on ne:s'entre- 
tint pas d'autre chose. Pendan! 
trois jours, Mme *euve Legros 
ne parla point de ses maladies 
et oublia même d'y penser. 
La en de la bénédic- 
tion avait été fixée par le doyen 
à trois heures de l'après-midi. 
Dès deux heüres.et demie, Mmr 
Poncet se tenait dans le grand 
salon de sa villa pour y accueil. 
lir ses invitées.  .: ni 
Bientôt elles ÿ ‘furent assem- 
blées au nombre de vingt-deux, 
autour de la maîtresse de mai- 
son vêlue d’une rabe de. satin 
noir que voilait une unique 
brodée de perles avec euirasse 
de dentelle. Elle distribuait à 
toùtes des sourires et des rc- 
merciements . qui - tombaient 
avec grâce de ses lèvres, d'un , 
rouge trop jeune pour être hu- 
turel: “Que c'est gentil à vous  : 
chère ‘madame, .: d'être ‘venue: 
rs un. temps pareil! — C'est 
ien de la bonté de voire part. 
je vous reconnais bien là!” +. 
Le mois de novembre en était 
à sa première quinaaine: ki 
dames rtaient, ce - jour-là, 
leurs toilettes d'hiver qu'elles 
avaient solennellement inaugu- 
rées à la grand'messe de ln 
Toussaint. Plusièurs d’éntre el- 
les très -fières d’être conviges 
‘en un “château” et. qui vou- * 
laiént y paraître à leur place, 
avaient, en toutc urgence, de- 
mandé aux magasins de Paris 
des costumes tout faitst à pei- 
ne avaient-elles eu de témps de 
les retirer du carton, On avait 
aussi sorti les fourrures des 
profonds tiroirs où elles doi- 
maient tout l'été avec des in. 
rédients qui passént pour tuer 


es mites. Une odeur d'étoff: 
neuve et de naphtaline bis - 
sait le salon. Ah! il avait fall 
faire diligence pour être prête 
au jour indiqué! Sansa vigi 


lance de sa fille Laure, Mm: 
Legros avait ‘un' malheur. de 
plus à joindre à la liste déj: 
si longue de ses infortuncs. 
Dans sa hâte d'étre une de: 
premières arrivées à la villa 
des: Bruyères, Mme Legro: 
avait endossé, sans prendre je 
temps d'enleverde petit bout di: 
carlon qui en sigonlait le pris, 
la jaquette de velours noir.ve- 
nue, sur he, de Paris et 
que le commissaire de da gare 
avait apportée le matin . 


verser Îles rues, paruitre dan» 
les salons de Mme Poncet ave. 
une étiquelte cousue dans l 
dos “Occasion exceptionnelle 
279 fr, 95”, elle se sentait géfait 
lir. 4 HN l 
Le froid commpençait à pi: 
quer: cl presque toutes ces ,du- 
mes Claient vêtues de peaux de 
bête, comme leurs grañd'mi- 
res du temps des caverñes: 
racu}, astrakan,: chevrette 


dus dames is & ee 4 * 
arge.  : 
né ns (A:sulyre)., un 


LA 


A songer qu'élle qurait pu tra- .